Critique : Red Hill
18 septembre 2010
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18 septembre 2010
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Quand le mec qui a fait Wolf Creek et Rogue
se penche sur un projet, on le regarde forcement avec une très grande
curiosité. Mieux, quand le film est un western qui utilise les codes du
slasher avec un prisonnier en fuite, façon boogeyman en mode vengeance,
on jubile d'avance. Et on a bien raison car hormis une utilisation
abusive de musique (pas une seconde de film sans une note), Red Hill est
une sacré réussite.
Porté par l'excellent Ryan « True Blood » Kwanten en jeune flic qui va avoir la pire des premières journées de travail, Red Hill prend son temps pour installer l'ambiance attachante d'une petite ville perdue au fin fond de l'Australie et joue avec les codes ultra codifiés du western en leur rendant hommage au détour de plans incroyablement iconiques. Et après nous avoir fait croire à une histoire de monstre (mais le bougre de cinéaste y reviendra en fin de parcours, on appelle ça la générosité de l'aussie), le revirement s'opère et le slasher vient s'immiscer dans le récit westernien.
Et c'est parti pour une chasse à l'homme des plus graphiques avec son lot de morts violentes constamment jouissives. Jason et Michael peuvent aller se reposer, Jimmy Conway a pris la relève et le bougre ne plaisante pas quand il s'agit d'occire son prochain. On appelle ça un bon petit coup de cœur !
Porté par l'excellent Ryan « True Blood » Kwanten en jeune flic qui va avoir la pire des premières journées de travail, Red Hill prend son temps pour installer l'ambiance attachante d'une petite ville perdue au fin fond de l'Australie et joue avec les codes ultra codifiés du western en leur rendant hommage au détour de plans incroyablement iconiques. Et après nous avoir fait croire à une histoire de monstre (mais le bougre de cinéaste y reviendra en fin de parcours, on appelle ça la générosité de l'aussie), le revirement s'opère et le slasher vient s'immiscer dans le récit westernien.
Et c'est parti pour une chasse à l'homme des plus graphiques avec son lot de morts violentes constamment jouissives. Jason et Michael peuvent aller se reposer, Jimmy Conway a pris la relève et le bougre ne plaisante pas quand il s'agit d'occire son prochain. On appelle ça un bon petit coup de cœur !
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