Critique : Crin blanc

Jean-Noël Nicolau | 12 mai 2008
Jean-Noël Nicolau | 12 mai 2008

Grand Prix du Jury du Festival de Cannes 1953, ainsi que Prix Jean Vigo la même année, Crin-Blanc demeure un chef-d’œuvre poétique et sauvage sur l’enfance. Moyen-métrage, entièrement tourné en décor naturel, le film parvient à concilier dureté et tendresse, sans jamais céder ni à la cruauté, ni à la niaiserie. La relation entre l’enfant et le cheval est toujours crédible, dans une optique naturaliste, poussée jusqu’à l’épure dans sa dernière partie. La fuite éperdue vers le pays où « les hommes et les chevaux sont toujours amis » conserve sa beauté déchirante.

Résumé

Newsletter Ecranlarge
Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large.

Lecteurs

(0.0)

Votre note ?

commentaires
Aucun commentaire.
votre commentaire