À peine j'ouvre les yeux : La critique libérée
Un premier film surprenant sur la Tunisie sous Ben Ali l'ardent désir de sa jeunesse d'enfin vivre sa vie.
Critique - Film
10/10/2015
Tunis, été 2010, quelques mois avant la Révolution. Farah, 18 ans, passe son bac et sa famille l'imagine déjà médecin... Mais elle ne voit pas les choses de la même manière. Elle chante au sein d'un groupe de rock engagé, vibre, s'enivre et découvre l'amour contre la volonté de sa mère, qui connait la Tunisie et ses interdits.
Un premier film surprenant sur la Tunisie sous Ben Ali l'ardent désir de sa jeunesse d'enfin vivre sa vie.