
Evasion : critique avec barreaux
En dépit du bon sens, on avait envie d'y croire.
Ray Breslin est un ingénieur spécialisé dans la conception de prisons ultra-sécurisées. Il teste lui-même l’efficacité de ses bâtiments en se faisant enfermer puis en s’évadant. Contacté par une société privée souhaitant tester un concept révolutionnaire de prison high-tech, il se retrouve prisonnier. Piégé dans ce complexe ultra-moderne, harcelé par un directeur impitoyable et son gardien corrompu, Ray découvre une conspiration pour le faire disparaître à jamais. Sa seule chance de survie : une alliance avec Emil Rottmayer, un codétenu ayant lui aussi un secret. Pour avoir une chance de s’évader, ils vont d’abord devoir se faire confiance.
En dépit du bon sens, on avait envie d'y croire.
Alors que le deuxième film n'est même pas encore terminé, Sly annonce qu'il prépare déjà sa prochaine évasion. Balèze le gars...
Il y a des suites de film, c’est un peu comme un rectum au milieu du front. Comprenez que c’est une idée plutôt chouette, mais pas indispensable.