Critique : Red eagle
Si la production
cinématographique thaï reste relativement discrète et méconnue dans nos
contrées, au profit d'un cinéma japonais qui peine à se renouveler,
En l'an 2016, Bangkok est devenue une capitale infestée de criminels. La corruption a miné le moral de la population et l'intention du gouvernement de construire un centre nucléaire attise les peurs. C'est dans ce contexte qu'apparait un héros dont personne ne connait la véritable identité mais qui laisse près de chaque criminel qu'il tue une carte avec son nom : Red Eagle ! Mais le chasseur peut aussi être chassé, car un assassin vient d'arriver en ville pour le tuer, on l'appelle le Black Devil...
Si la production
cinématographique thaï reste relativement discrète et méconnue dans nos
contrées, au profit d'un cinéma japonais qui peine à se renouveler,