Critique : Deep end
Deep end c'est
d'abord une histoire de couleurs, et on imagine fort bien que le film
eut pu s'appeler Deep red, comme le titre anglais d'un célèbre giallo,
dans
Critique - Film
23/06/2011
Mike vient de sortir du college et trouve un emploi dans un etablissement de bains londonien. Susan, son homologue feminin, arrondit ses fins de mois en proposant ses charmes a la clientele masculine. Amoureux jaloux de la jeune femme, Mike devient encombrant.
Deep end c'est
d'abord une histoire de couleurs, et on imagine fort bien que le film
eut pu s'appeler Deep red, comme le titre anglais d'un célèbre giallo,
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