Critique : Bon À Tirer (B.A.T.)
Schizophrène amouraché, obèse
complexée, siamois au bord de la crise de nerfs, les Farrelly ont
exploré ces dix dernières années une palette de caractères
déjantés
Meilleurs amis du monde, Rick et Fred sont tous deux mariés depuis longtemps. Lorsqu’ils commencent à montrer des signes de lassitude à la maison, leurs femmes décident d’une mesure radicale pour mettre du piment dans leur vie conjugale : elles donnent à leurs hommes « carte blanche », une semaine de liberté totale où ils pourront faire ce que bon leur semble. Sans aucune question. Au début, cela ressemble à un rêve devenu réalité pour Rick et Fred, mais ils découvrent rapidement, dans des situations hilarantes, que leur idéal de vie célibataire - et eux-mêmes - sont totalement en décalage avec le monde réel.
Schizophrène amouraché, obèse
complexée, siamois au bord de la crise de nerfs, les Farrelly ont
exploré ces dix dernières années une palette de caractères
déjantés
Leur retour avec la suite de leur film le plus emblématique méritait bien qu'on fasse un point sur eux : portrait des frères Farrelly.