Critique : Takers

Vincent Julé | 24 novembre 2010
Vincent Julé | 24 novembre 2010

Chris Brown : Wesh, gros, c'est Chris on the phone !

Tip "T.I." Harris : Yo bro, ça va bien bien ou bien ?

C.B. : Tainpu, cette biatch de Rihanna, elle a porté plainte pour violence conjugale... mais attends, chui pas son mec, juste son mac !

T.I. : Toutes des salopes... sauf maman. Elles shakent leur booty... sauf maman... et après elles se plaignent... sauf maman. Moi pareil, genre, j'ai pas le droit de porter de .47 qu'y disent, c'est illégal et tout.

C.B. : T'as vu... la justice, elle craint, je l'encule !

T.I. : Ouais, on est trop des Scarface des temps modernes.

C.B. : Scarface 2.0 !

T.I. : Wesh Coast in da house !

C.B. : Si je pouvais, je ferais tout sauter, à commencer par la banque comme dans le documentaire Ocean's Thirteen avec Clooney et De Niro.

T.I. : C'est vrai, y a Braquage à l'italienne, à l'anglaise, mais pas à la PaRappa the Rapper !

C.B. : Bah, on n'a qu'à le produire, et jouer dedans... mais pas les 1ers rôles, ça se verrait trop.

T.I. : Why not, mais je fais le bad guy et tout, et je veux comme nom... je sais pas... Ninja ! Euh, non, Fantômas ? Rah, nan... Ghost alors ?

C.B. : Ouais, moi, je vais appeler Paul Walker, il est rapide et furieux, mais il joue plus, il va accepter direct.

T.I. : Hayden Christensen aussi, il arrêté de jumper, ça devrait être bon. Mais j'aimerais bien aussi avoir Matt Dillon, il déchire tout dans Blindés, le meilleur film de braquage que j'ai jamais vu.

C.B. : Et en leader... bah... le meilleur : Stringer Bell !

T.I. : Et pour le réal ? Attends, j'essaie un truc.

John Luessenhop : Oui, allo, bonjour ?

T.I. : Ouais, Joe, c'est toi qu'a fait Lockdown, avec des blacks en prison ?

J.L. : Oui, vous êtes qui ?

T.I. : Tu pourrais faire pareil avec du bling, du gunfight, du ralenti... et de l'émotion pure.

J.L. : Oui, vous êtes qui ?

T.I. : Super, je te linke des clips de Booba pour que tu vois le genre.

J.L. : Oui, vous êtes qui ?

T.I. : Chris, j'avais trouvé Bone Deep, « Bien Profond » en québécois, comme titre, mais les distributeurs veulent pas vendre le film sur nos noms, car on est trop des gangsters, donc ça va s'appeler Takers, parce qu'on prend de l'argent. Tu sais, du verbe « to take », prendre.

C.B. : Yeah man, Preneurs, le 24 novembre dans les bacs !

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THE TAKERS
06/01/2015 à 18:35

la on va parler d'une grosse, grosse, grosse merde, un film de merde, avec un casting de merdes, avec matt dillon, l'acteur raté de service, le pseudo acteur idris elba, hayden "film de merdes" Christensen, chris Brown alias je tabasse rihanna
matt dillon a qui on veut taper dans la gueule tellement qu'il est aussi expressif qu'un concombre,
hayden Christensen n'en parlons même pas, ce mec n'a rien, aucun talent, un crottin a essorrer, avec sa ribambelle de film de merdes, comme jumper (une daube), awake (une purge), medieval pie( a conseillez aux gays et aux lopettes), et j'en passe et des meilleurs,
alors les scènes débiles en veux tu en voilà, comme la scène ou nos courageux pseudo voyous se font canarder par les kalachnikov des russkof, et que le très con elba devient encore plus con qu'il n'était en proposant de se protéger des balles avec des coussins achetés a monoprix a 2 euros, quel homme !
et qui se finit comme une merde, puisque c'était T.I. le gars qui leur a foutu un poing dans le cul avec une facilité deconcertante qui les a niqués et balancé aux mafieux russes,
et la derniere scène se termine par notre T.I. qui se prépare à bronzer aux maldives avec son blé dans le portefeuille qui se fait piégé par le poulet suicidaire matt dillon ( ben quand même oui, un flic qui pose son flingue derriere son cul pour venir en aide a son copain futur machabée, là ou un gus peut lui piquer en l'envoyer au cimetière et aussi parce que c'est la première fois que l'on voit un agent de la volaille jouer les james bond avec son mome dans sa caisse), pour revenir
c'est pas un poing dans le cul mais le poing de Lucky luke dans le cul, (parce que l'ami T.I. est aussi rapide que l'homme aussi rapide que son ombre),
et la vint l'impensable, la phrase de trop, le genre de phrase qui fout tout en l'air, qui degoute, qui depasse les bornes,
"oh c'est le poulet et son moutard, on va quand même pas la priver de son papa poulet, allez on te laisse en vie",
non mais là ça va trop loin comme si un gangster allez se faire chier, c'est boum, et dillon il a un trou du cul a la place du front,
allez, assez d'avoir parlé de c'te merde, qui fout la loose aux film de gangster, a éviter comme la peste.

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