Critique : Still walking
En 2004, Hirokazu Kore-Eda nous faisait doucement chialer avec un
Nobody knows aussi pudique que touchant, récompensé à cannes pour l'interprétation
de
Critique - Film
24/04/2009
Une journée d’été à Yokohama. Une famille se retrouve pour commémorer la mort tragique du frère aîné, décédé quinze ans plus tôt en tentant de sauver un enfant de la noyade. Rien n’a bougé dans la spacieuse et réconfortante maison des parents. Mais pourtant, au fil des ans, chacun a imperceptiblement changé…
En 2004, Hirokazu Kore-Eda nous faisait doucement chialer avec un
Nobody knows aussi pudique que touchant, récompensé à cannes pour l'interprétation
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