Critique : Eldorado
Les amateurs de nuages feraient bien de se ruer sur cet Eldorado dont le titre n'est pas si ironique que cela : de stratocumulus en cumulonimbus, le film de Bouli
Critique - Film
20/06/2008
Yvan, dealer de voitures vintage, la quarantaine colérique, surprend le jeune Elie en train de le cambrioler. Pourtant, il ne lui casse pas la gueule. Au contraire, il se prend d'une étrange affection pour lui et accepte de le ramener chez ses parents au volant de sa vieille Chevrolet.Commence alors le curieux voyage de deux bras cassés à travers à un pays magnifique, mais tout aussi déjanté.
Les amateurs de nuages feraient bien de se ruer sur cet Eldorado dont le titre n'est pas si ironique que cela : de stratocumulus en cumulonimbus, le film de Bouli