
Quantum of Solace : critique à l'ombre
Le deuxième James Bond avec Daniel Craig, Quantum of Solace. A notre sens le moins bon de son ère, imparfait mais regardable.
Même s'il lutte pour ne pas faire de sa dernière mission une affaire personnelle, James Bond est décidé à traquer ceux qui ont forcé Vesper à le trahir. En interrogeant Mr White, 007 et M apprennent que l'organisation à laquelle il appartient est bien plus complexe et dangereuse que tout ce qu'ils avaient imaginé... Bond croise alors la route de la belle et pugnace Camille, qui cherche à se venger elle aussi. Elle le conduit sur la piste de Dominic Greene, un homme d'affaires impitoyable et un des piliers de la mystérieuse organisation. Au cours d'une mission qui l'entraîne en Autriche, en Italie et en Amérique du Sud, Bond découvre que Greene manœuvre pour prendre le contrôle de l'une des ressources naturelles les plus importantes au monde en utilisant la puissance de l'organisation, et en manipulant la CIA et le gouvernement britannique...
Le deuxième James Bond avec Daniel Craig, Quantum of Solace. A notre sens le moins bon de son ère, imparfait mais regardable.
Daniel Craig reprend avec brio la saga 007 avec Casino Royale... puis vient l'explosif mais pourtant si oubliable Quantum of Solace.
Barbara Broccoli, productrice détenant les droits de James Bond, défend Quantum of Solace, le mal-aimé de l'ère Daniel Craig.
Quantum of Solace, la deuxième apparition du James Bond de Daniel Craig a de nombreux défauts. Visiblement, nous ne sommes pas les seuls à le penser.