Critique : Dikkenek
Qui fréquente les salles obscures de façon régulière depuis six semaines s'est certainement retrouvé face au mini spot de trente secondes assez efficace où
JC et Stef sont des amis d'enfance. Inséparables. JC est LE dikkenek belge, un donneur de leçon à cinq balles, un moralisateur, un tombeur de minettes, bref une grande gueule intégrale, coiffé comme un peigne. Stef est tout le contraire. Il cherche le Grand Amour, mais vu qu'il ne bouge pas de son lit, il va avoir du mal à trouver. JC lui explique donc la méthode : faire un sans-faute du point A jusqu'au point G. Entre ces deux points, JC et Stef vont croiser : Claudy, le directeur des abattoirs d'Anderlecht et photographe amateur (de chair fraîche), Greg, un bébé-manager vissé à son portable, Natacha, une nymphette désœuvrée, Fabienne, une pauvre petite fille de riches, Nadine, une institutrice qui préfère la schnouf aux tables de multiplication, ainsi que Laurence, une commissaire de police fâchée avec les conjugaisons, qui ponctue ses phrases à coups de gros calibre.
Qui fréquente les salles obscures de façon régulière depuis six semaines s'est certainement retrouvé face au mini spot de trente secondes assez efficace où
Dikkenek s'est imposé comme un incontournable de la culture populaire, après avoir été un flop à sa sortie. Retour sur les coulisses d'une oeuvre grande gueule.
Quels sont les films et les séries à ne pas manquer ce mois de janvier sur Amazon Prime ?
Le corsaire de l'espace va enfin avoir droit à son film live... Grâce au réalisateur de Dikkenek. Wait.... WHAT ?!