Critique : Babel
Avec Babel, Inarritu, aidé de son camarade scénariste Arriaga, nous resservent le concept du film chorale à effet narratif papillon. D'où multitude de personnages
En plein désert marocain, un coup de feu retentit. Il va déclencher toute une série d'événements qui impliqueront un couple de touristes américains au bord du naufrage, deux jeunes Marocains auteurs d'un crime accidentel, une nourrice qui voyage illégalement avec deux enfants américains, et une adolescente japonaise rebelle dont le père est recherché par la police à Tokyo. Séparés par leurs cultures et leurs modes de vie, chacun de ces quatre groupes de personnes va cependant connaître une même destinée d'isolement et de douleur...
Avec Babel, Inarritu, aidé de son camarade scénariste Arriaga, nous resservent le concept du film chorale à effet narratif papillon. D'où multitude de personnages
Parvenir dans le top 20 du week-end au box-office américain est déjà un exploit lorsqu'on n'est distribué que dans 35 salles sur tout le territoire des USA (soit
Présenté au dernier festival de Cannes (d'où il est reparti avec le Prix de la mise en scène, cf. le palmarès complet), la article-details_c-trailers de Babel,