Critique : Le Secret de la pyramide
Petit classique du cinéma made in Amblin, Le Secret de la pyramide est en effet un divertissement tout à fait représentatif du tandem Colombus-Spielberg, même
Londres, en 1870. John Watson, fils d'un médecin de campagne fraîchement débarqué de ses solitudes provinciales, découvre les couloirs et les brumes de son nouveau collège. Il se retrouve nez à nez avec un curieux hurluberlu, son nouveau condisciple, qui semble tout savoir de lui sans l'avoir pourtant jamais rencontré. Ainsi naît une amitié. Watson découvre rapidement que son nouveau compagnon, Sherlock Holmes, se pique de résoudre les énigmes les plus extravagantes et qu'aiguillonné par son rival dans le coeur de la belle Elizabeth, Dudley, il se révèle fort capable de devancer la police dans la solution d'un curieux suicide. L'oncle d'Elizabeth venant à mourir, victime d'une sarbacane, le trio reprend du service, en dépit des protestations de Watson, qui voudrait bien devenir médecin...
Petit classique du cinéma made in Amblin, Le Secret de la pyramide est en effet un divertissement tout à fait représentatif du tandem Colombus-Spielberg, même
Retour sur Le Secret de la Pyramide, véritable madeleine de Proust des productions Amblin, et adaptation libre de la jeunesse de Sherlock Holmes.