Critique : BloodRayne
Boll contre-attaque ! Armé d'un budget conséquent (25 millions de
dollars) et d'un casting aussi irréel pour le bonhomme qu'hétéroclite
(Michael Madsen,
Roumanie, XVIIe siècle. Mi-humaine mi-vampire après le viol et le meurtre de sa mère par le roi des vampires Kagan (Ben Kingsley) , Rayne (Kristanna Loken) est élevée dans un cirque. Elle y découvre sa vraie nature, mais refuse de tuer des innocents pour étancher sa soif de sang : elle décide alors de se nourrir de vampires et devient BloodRayne. Approchée par Sebastian et Vladimir, deux chasseurs de vampires, elle se joint à la société secrète Brimstone pour tenter d’éliminer son père. Ce dernier convoite trois reliques légendaires qui permettraient aux vampires de prendre le contrôle de la Terre…
Boll contre-attaque ! Armé d'un budget conséquent (25 millions de
dollars) et d'un casting aussi irréel pour le bonhomme qu'hétéroclite
(Michael Madsen,
Gros cartons au box-office, gros plaisirs coupables, grosses références en nanar : l'histoire des adaptations de jeux vidéo n'a finalement rien de maudit.
Tout vient à point à qui sait attendre, le "grand" Uwe Boll jette l'éponge. On est quand même un peu triste.
L'un des pires réalisateurs actuels n'a décidément peur de rien pour financer son nouveau film. Mais les fans ne sont pas dupes.