Critique : La Ferme en folie
Barnyard, la ferme en délire semble être le rejeton d'un téléscopage cosmique entre Babe, Le Roi lion et le livre d'Orwell, La Ferme des animaux. Babe pour les
Otis la vache est le plus dissipé de tous les pensionnaires de la ferme. Lui et ses copains, Peps la souris, Freddy le furet, Bec le coq et Porc le cochon, sont toujours partants pour faire les 400 coups. Otis, faut-il l'avouer, est un rien bête, et fier de l'être... Son père, Ben, a heureusement le sens des responsabilités. Chaque matin, il rassemble sa tumultueuse famille pour distribuer les tâches et corvées du jour et inciter les animaux à se méfier de leurs ennemis héréditaires, les coyotes. Ben prend très au sérieux son rôle et aimerait bien que son fils se montre un peu plus adulte. Peine perdue : Otis continue à faire la java et semble d'autant moins prêt à s'amender que son style plaît beaucoup à la belle vache Bessy aux grands yeux tendres. Mais un triste jour, le vieux Ben s'en va. Otis est alors bien obligé de prendre sa suite. Et les ennuis commencent...
Barnyard, la ferme en délire semble être le rejeton d'un téléscopage cosmique entre Babe, Le Roi lion et le livre d'Orwell, La Ferme des animaux. Babe pour les
Lorsque le réalisateur de Kung pow, Ace Ventura en Afrique et de quantité d'autres comédies potaches (notamment la série des courts-métrages parodiques Thumb