Critique : Samaria
En 1999, avec L'île et sa fameuse scène des hameçons (pas besoin de plus de détails, ceux qui l'ont vue comprendront), le réalisateur coréen Kim Ki-duk entrait
Jae-yeong est une jeune fille encore insouciante : désireuse de s'envoler pour l'Europe, elle n'a pas trouvé de moyen plus simple et plus rapide que la prostitution pour parvenir sans mal à ses fins. Elle prend le tout avec calme et naïveté, bientôt convaincue d'être capable, à l'image de prostituées légendaires, d'apporter bonheur et félicité à ses nombreux clients. Yeo-jin, sa meilleure amie mais aussi sa plus proche collaboratrice, voit bientôt d'un très mauvais œil les esquisses de relations que Jae-yeong tente de tisser avec ces hommes traversant épisodiquement sa vie.
En 1999, avec L'île et sa fameuse scène des hameçons (pas besoin de plus de détails, ceux qui l'ont vue comprendront), le réalisateur coréen Kim Ki-duk entrait