
Yomeddine : critique pour les preux
Abu Bakr Shawky s'est dévoilé à Cannes avec Yomeddine, qui lui valut d'être le plus jeune réalisateur de 2018 en compétition. Le voici dans les salles.
Beshay, lépreux aujourd’hui guéri, n’avait jamais quitté depuis l’enfance sa léproserie, dans le désert égyptien. Après la disparition de son épouse, il décide pour la première fois de partir à la recherche de ses racines, ses pauvres possessions entassées sur une charrette tirée par son âne. Vite rejoint par un orphelin nubien qu’il a pris sous son aile, il va traverser l’Egypte et affronter ainsi le Monde avec ses maux et ses instants de grâce dans la quête d’une famille, d’un foyer, d’un peu d’humanité…
Abu Bakr Shawky s'est dévoilé à Cannes avec Yomeddine, qui lui valut d'être le plus jeune réalisateur de 2018 en compétition. Le voici dans les salles.
Que retenir de ce 71ème Festival de Cannes ?
Yomeddine : Critique pour les preux.