
Artemis Fowl : critique Men in Bad
Disney se prend un mur à 125 millions avec ce navet adapté des livres d'Eoin Colfer, grand moment de vide et de kitsch.
Descendant d’une longue lignée de criminels, le jeune et richissime Artemis Fowl – 12 ans et déjà doté d’une intelligence hors du commun – s’apprête à livrer un éprouvant combat contre le Peuple des Fées, des créatures puissantes et mystérieuses qui vivent dans un monde souterrain et qui pourraient bien être à l’origine de la disparition de son père 2 ans plus tôt. Pour mener sa lutte à bien, il devra faire appel à toute sa force et à son ingéniosité diabolique, quitte à prendre en otage le capitaine Holly Short - une elfe réputée pour sa bravoure - et l’échanger contre une rançon en or. Pour le nain gaffeur et kleptomane Mulch Diggums – qui va tout tenter pour venir en aide à Holly – et la commandante Root, chef du F.A.R.F.A.DET (Forces Armées de Régulation et Fées Aériennes de DETection, le département de reconnaissance de la police des fées), la partie s’annonce plus que serrée…
Disney se prend un mur à 125 millions avec ce navet adapté des livres d'Eoin Colfer, grand moment de vide et de kitsch.
Artemis Fowl ? Brutus vs. César ? Mulan ? The Old Guard ? Les Nouveaux mutants ? La rédaction donne les films les moins réussis, les plus décevants, de 2020.
Quelques jours après sa sortie, Artemis Fowl est un revers comme Mickey en a peu connu. La faute à une adaptation trop éloignée du matériau original ?
Personne ne s'attendait à un véritable chef-d'oeuvre, mais avec Judi Dench, Colin Farrell et Josh Gad au casting, il y avait un peu d'espoir... Apparemment non.