alulu
21/03/2021 à 19:40

Je n'avais pas vu tant de violence depuis le Nous vieillirons ensemble et je ne parle pas de critiques mais de certains commentaires. Comme quoi, il n'y a pas que les jeunes qui kiffent les blockbusters qui pètent un plomb sur un avis peu favorable, pourtant le public de Ozon, on le qualifie plus facilement de raisonnable.

Adam
21/03/2021 à 19:35

Je suis stupéfait par la note finale après avoir lu la critique ( vive la ref a city Hunter!)
J’ai pas retenu grand chose de ce film à part la scène du gode-ceinture mais tant de fiel me paraît un peu injuste

Mike26
19/05/2019 à 23:24

Riaux vos écrits puent la haine, la jalousie, l'aigreur, la rage et la frustration.

Faîtes du cinéma au lieu de cracher avec un tel mépris.
Ah mais non suis-je bète:
Vous préférez vous cacher derriere un bureau pour cracher sur le travail des autres car vous-mêmes n'avez ni le talent ni le courage pour écrire et réaliser des films.

Vous n'osez pas ou alors avez conscience inconsciemment de votre médiocrité.
Du coup vous vous défoulez.

Cadi
09/05/2018 à 15:24

Une critique quelque peu outrancière mais que je partage totalement tant ce film constitue un ratage complet. Scénario inepte, photo et cadrage faussement léchés, sans originalité, scène d'ouverture qui se voudrait "l'origine du monde"...bref.... pas grand chose à sauver...sauf oui, "As long as I have you" chanté par Elvis.

ethan hunt
09/05/2018 à 10:27

Monsieur RIaux,
Juste un petit mot pour vous dire que depuis la sortie du film et de l'article, je garde cette page en favori et me la ressort quelquefois pour rigoler. Le film était chiant mais votre critique est un chef d'oeuvre ! Le sommet de tout ce que vous avez écrit. Chaque phrase est drôle, c'est génial.
Et, contrairement à ce que n'ont pas compris certains commentateurs, vous arrivez, finalement, à être tendre avec le film.
Merci !!!!

Bijou
23/12/2017 à 09:24

Plutôt que de faire du pseudo porno, le réalisateur aurait mieux fait de se mettre au genre directement. J'ai ressenti un pot pourri sans consistance, le spectateur est embarqué dans un thriller sans logique où fantasme, réalité et rêve se mêlent pour avorter lamentablement.

carobida
06/12/2017 à 03:36

Tous les commentaires sont valables, toutes les critiques également. Ce film est ahurissant à tout moment, et on en sort sans avoir rien compris. Je suis quand même forte car j'ai eu une pensée pour Stephen King. Autre chose certaine : la beauté de haut jusqu'en bas de Marine, et le jeu de Jérémie Rénier qui devient beau en vieillissant. Résumé final, j'avais un immense besoin de me vider la tête et j'avoue que le but a été atteint, et jusqu'au bout on est en haleine.

Marie
18/11/2017 à 13:41

Simon Riaux ton article est à vomir ,comme toi même ,tu dois être gravement frustré,pour déverser autant de haine,sur un réalisateur aussi excellent que François Ozon.Allez entamer une psychothérapie vous en avez gravement besoin.

Patufet
12/11/2017 à 06:05

Bonjour,

Critique ridicule! Belles paroles et phrases alambiquées pour se mettre en avant , se faire mousser. Pas de beau style d'écriture ni de belles formules, juste de la lourdeur. Mais apparemment, certains aiment... et je respecte.

Je cherchais quelques explications à confronter à mon interprétation mais devant tant de venin déversé pour rien... à se demander si le rédacteur a compris le film! Les raccourcis abusifs me laissent croire que non.
Le film met mal à l'aise et reste réussi en ce sens. Est-ce qu'il y a un peu trop de largesse laissée à l'interprétation du spectateur probablement mais pas au point d'être affligé par un tel article qui sert à faire le buzz et générer des vues.
Pourtant, la note finale reste correcte? Incohérent! Le texte laisserait plutôt penser à une note de 1 ou 1,5. Mais après s'être fait plaisir dans la rédaction de l'article, peut-être l'auteur a-t-il eu quelques remords?

Babar
09/07/2017 à 14:04

Film difficile a suivre , ennuyeux , incompehensible, avec une seconde histoire pour la fin qui ruine le peu de plaisir auquel on s accroche par egars a Ozon. C est excessif et atteint l inutile
On abuse du spectateur

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