Rat
21/09/2015 à 14:58

@Molière

Parfois, quand l'Autre pense différemment, ce n'est pas une question de camp politique, mais d'intelligence. Mais c'est certainement plus simple de crier au complot et de se faire victime.

Totemkopf
21/09/2015 à 14:54

On atteint en 3 commentaires le nouveau point Godwin, "le fasciste c'est pas lui, c'est vous, parce que vous n'acceptez pas son fascisme et vous êtes du lobby gauchiste bobo intello qui contrôle la France". Le fond de commercer de toute la droite, qui crie que tous les médias sont de gauche, même si la moitié servent les intérêts de la droite, voire de l'extrême-droite.

C'est ce maire qui fait de la pub gratuite à un film (et sa commune), Corsini n'a rien à voir "Molière". Mauvaise foi totale.
Elle fait un film (que tu le trouves nul ou inintéressant, en l'ayant vu ou non, c'est même pas la question), et elle a la liberté de filmer ce qu'elle veut (le box-office n'est pas non plus le sujet ici, inutile de tout mélanger pour noyer le poisson). C'est un fantasme de croire que le cinéma français est une dictature gauchiste, c'est un fantasme de persécution.

Si ce que tu penses que c'est problématique qu'un artiste prône (en quoi elle impose quoi que ce soit ? surtout avec un film si "mineur" et inconséquent à tes yeux?) la liberté sentimentale et sexuelle de chacun, la tolérance et le respect, surtout dans une période où des homo sont encore tabassés/moqués/insultés/etc, eh bien tu ferais mieux d'y réfléchir un peu plus.
Etre un fasciste de la liberté individuelle, de l'égalité et du respect, c'est probablement le plus beau compliment que puisse faire une personne étroite d'esprit.

Nyctalop
21/09/2015 à 14:50

Oui blablabla c'est de la censure point ! et même pas justifiée, pas de nue mais des épaules donc c'est un faux problème. le vrai problème c'est que ce sont 2 femmes surtout et censurer en 2015 l'homosexualité féminine je pense que c'est condamnable.

Molière
21/09/2015 à 14:40

Mais quelle censure ? Son film a été projetté, ni coupé...
Combien de villes et villages n'affichent pas certains films pourtant en salle ? Doit on crier à la censure ?

Et puis ce n'est que justice après tout... pourquoi les maires FN devraient ils faire la promotion de ceux qui les conspuent du matin au soir. Comme le fait si bien cette pseudo realisatrice, Catherine Corsini, au service de la propagande gauchiste et de sa bien pensance. C'est d'allieurs pour cela qu'elle peut continuer à faire ses films malgré les bides. On sait très bien que le cinéma français, à defaut de faire du cinema, diffuse en majorité des idéologies gauchistes.

Le CNC est a ce titre, une véritable machine de propagande.

Et La Belle Saison ne déroge pas à cette règle. Voyez vous donc. Le film est un bide au box office. Quoi de mieux que de faire du buzz en allant chercher des poux à des élus Front National. La gauche applaudit et le film fait parler de lui.

Si le maire FN a eu tort de jouer à ce jeu car il fera toujours le lit de celui qui accuse. Catherine Corsini n'a aucunement raison. Où est elle ?, elle et sa liberté d'expression quand les artistes se font ostraciser par la nomenklatura socialiste ?

Combien de films ne sont pas mis en avant en France, parce qu'ils ne représentent pas cette exception culturelle si chère à la propagande gauchiste ?

Avec vos grands airs, vous parlez de diversités, de liberté mais votre cinéma, celui de la soit disante "exception" ressemble étrangement aux accusations que vous portez systématiquement à vos opposants: un cinéma fermé, renfermé sur lui même et stigmatisant tout ce qui ne pense pas comme lui,

Je vous souhaite un jour de voir apparaître dans votre reflet le mot "fasciste" sur votre front, ça prouvera au moins que vous êtes lucide.

Mad
21/09/2015 à 13:54

Magnifique lettre!

Dans ton cul, odieux facho.

Ethan Bunt
21/09/2015 à 13:41

J'ai hâte qu'on nous censure des affiches de couples hétéro qui s'embrassent passionnément, avec des scènes de sexe où l'on voit un homme et une femme à moitié nus dans des positions "choquantes", pour prouver qu'il n'y a aucune homophobie dans ce process (...)