Oli
27/07/2015 à 14:45

Je rajouterais juste que la référence ultime, Cannibal Holocaust, présentait justement les tribus amazoniennes comme victime d'une équipe de reporters occidentaux sans scrupule et meurtrier. Ruggero Deodato a toujours été soucieux du "message" que véhiculait son film (même si par excès de provocation, le bonhomme adoptait maladroitement les travers des médias qu'il voulait dénoncer).

Oli
27/07/2015 à 14:41

Eh bien pour le coup, je trouve que le discours du groupe d'activistes est loin d'être à côté de la plaque. Ils ont entièrement raison sur la question de "responsabilité en tant que raconteur d'histoire", surtout à une époque où les dernières peuplades d’Amazonie sont chassées et massacrés au profit de chantiers divers et autres entreprises de déboisement.
En tant que créateurs, il y a un moment où il faut assumer l'idéologie que va véhiculer son œuvre aux yeux du public et cesser de se retrancher derrière la posture de l'adulescent irresponsable et déconneur.

Bolderiz
27/07/2015 à 14:28

Ah souvenirs! Quand je découvrais alors Cannibal Holocaust en VHS...

Raclure de chiotte
27/07/2015 à 13:45

Y a eu une pétition des habitants des pays de l'Est pour tous les films qui ont donné l'image un peuple violent, violeur, etc etc etc.?

Tommy 51
27/07/2015 à 12:53

Le film a l'air plutôt malsain quand même