sylvinception
22/05/2015 à 10:49

L'immonde "Irréversible" suffit à résumer le pathétique provocateur en carton qu'est Noé :
- "tient, et si on mettait des scènes de cul bien crades dans des club gays SM - oui je sais bien ça n'a RIEN à voir avec l'histoire du film, mais avouez que c'est quand même trop d'la balle sur le plan strictement esthétique, non ??" (lol ?)

Non, en fait Gaspard, t'es juste un pur tâcheron.
Bisou.

Simon Riaux
22/05/2015 à 10:22

Comme dit plus haut, personne ici ne compare les œuvres de Kubrick et Noé, nous notons simplement que Noé accomplit ici un fantasme de cinéma revendiqué par Kubrick. Point.

S'il fallait trouver une influence majeure à Noé, ce serait bien sûr celle de Gerald Kargl.
Et enfin, qualifier Noé de pervers, c'est aller un peu vite et se placer dans un camp moraliste qui fit en leur temps de La Grande Bouffe, Dernier Tango à Paris, La Dernière Tentation du Christ ou encore Crash des œuvres infréquentables...

Pervers Pépère
22/05/2015 à 10:04

Gaspard Noé : hier personne n'allait voir ses films au cinéma mais tout le monde en parlait. Aujourd'hui, personne ne va voir ses films au cinéma mais on n'en parle plus !

La raison en simple : quand les petits bobos de l'intelligentsia parisienne voulait s'extasier devant la transcendance magnifiée des passions en extase et qu'ils se retrouvent finalement dans un public de sales pervers amateurs de viols à l'écran, ça la fout un peu mal.

Et il n'en fallait pas moins à Ecran Large : des filles à poils et on perd complètement la raison : affirmer que Noé réalise le rêve de Kubrick, il faut redescendre les gars ! Il fallait oser la faute de comparer celui qui reste ni plus ni moins qu'un immonde pervers (le viol, c'est trop bien au cinéma !) et un génie visionnaire qui aura résumé toutes ses névroses dans son dernier film-testament (Eyes Wide Shut).

Gaspard Noé dit aimer se faire détester. On va simplement lui rendre justice : laisser sa carrière se vautrer dans les égouts où il s'ébat tel un porc et ses films sombrer définitivement dans son vomi et dans l'oubli.

Joe the plumber
21/05/2015 à 21:04

@Julia, apprenez à lire, il est dit dans la critique que Noé réalise le rêve de Kubrick. Il n'est pas comparé à Kubrick.

M
21/05/2015 à 20:22

Julia, l'influence de Kubrick sur le cinoch de Noé est quand même assez flagrante.

GOLDORAK2010
21/05/2015 à 19:50

@Julia mdrrrrrrrrrrrrrrr

Julia
21/05/2015 à 19:08

Alors bien sûr, Ecran Large voit du sexe en 3D et ça y est c'est Kubrick. Après avoir fait passer les Maïwenn et Donzelli pour des traces de pneu. J'aurai préféré qu'une femme nous parle de ce Love qui m'intrigue malgré tout. Mais non. Une femme à Ecran Large, c'est bon pour le radiateur, en mode bondage.