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13/03/2016 à 10:34

ses seins n etaient pas si gros, à la bonde.

HLemaitre
08/01/2015 à 04:00

Clay34 a tout dit, et c'était extrêmement connu; y a des pseudo-journalistes sur Internet !

Clay34
03/01/2015 à 14:15

Halala mais personne n'a compris la fin du film et apparemment Tim Roth non plus. Il s'agit d'une révélation pour le personnage joué par Marky Mark.
Dès le départ, celui-ci est un héros égoïste qui n'hésite pas à mettre en danger son équipage pour faire le malin. Sur la planète des singes, il méprise profondément les singes et le fait que les humains puissent leur être soumis. Il considère les singes comme des animaux brutaux incapables de subtilité. Mais petit à petit tout au long du film, il se rend compte qu'ils ne sont pas si différents des humains (les humains veulent par exemple abattre un singe sans défense lors de l'évasion). D'ailleurs la blonde à gros seins finit par ne plus l'intéresser tant que ça, ou du moins la singe scientifique lui semble presque plus humaine et attirante que la blonde (ironie de Burton). Finalement, à son retour, à l'instant où il pose le pied sur Terre, le "héros" réalise que les singes de la planète des singes, ce sont nous, les êtres humains (d'où le singes).
Son point de vue (au sens presque littéral) a changé : d'humain non-civilisé (assimilé à un animal) sur la planète des singes, il est devenu un être civilisé sur Terre grâce à son voyage/expérience, et réalise que la Terre a toujours été peuplée d'êtres non-civilisés violents, qu'il voit désormais comme des singes.
Une fin donc extrêmement intelligente et subtile, forcément incomprise, vu qu'elle ne mâche pas le travail de réflexion et ne se termine pas avec un personnage expliquant la thèse de Burton.

Will Wayne
01/01/2015 à 16:24

Ne peut être que d accord avec Tim Roth concernant le rendu du dernier film, plus proche d un foutoir numérique type jeux vidéo, que d un vrai film crédible avec des vrais poils et tout et tout.

Greg
31/12/2014 à 17:23

La fin débile de ce film illustre l'absence de propos du metteur en scène au service d'une commande. Quant à la comparaison avec le chef-d’œuvre de 68, elle est vaine.
Ce film marque le début de la fin pour Tim Burton, lequel a vendu son âme en même temps qu'il succombait à la sorcière Helena Bonham Carter. L'annonce récente de leur séparation redonne un peu d'espoir à ceux qui ont aimé les premières œuvres de Burton, à condition que son envoûtement ait disparu en même temps qu'elle. Mais les premières critiques mitigée de Big Eyes laissent penser le contraires.

Tom Burtin
31/12/2014 à 11:46

"Qu'on aime ou qu'on aime pas…", sérieusement ce film était sensé relancer la "franchise" et l'a tout simplement plombé pendant près 10 ans (à la manière de Superman) tant il est mauvais ou qu'il n'a pas marché (ou les deux).

Ce film n'a pas été (je vous cite) "un tournant capital dans la carrière de Tim Burton puisqu'il aura été le film de l'intégration définitive du réalisateur dans la philosophie hollywoodienne" mais il aura prouvé qu'un cinéaste visionnaire et audacieux peut aussi se laisser séduire par la "philosophie" hollywoodienne ; à savoir, de gros billets verts pour payer sa nouvelle maison. Et pour le coup, troquer son talent contre son confort.

N'en déplaise à notre ami Tim Roth, les deux derniers films de la "franchise" sont quand même beaucoup plus aboutis que celui de Burton.

diez
31/12/2014 à 10:42

Exact, la fin du Burton est plus fidèle que le film de Schaffner.

Je préfère cependant largement le film de 68 et certains de ses moments cultes et avec cette réplique mémorable de Charlton heston découvrant la statue de la liberté.

RiffRaff
31/12/2014 à 10:04

Perso j'avais pas remarqué que c'était la statue de Thade à l'époque. La fin du film de Burton est proche de celle du livre là où la version de 1968 s'en éloignait brillamment.