Anonyme
14/11/2014 à 08:23

L'objectivité n'est pas synonyme de vérité. Elle n'existe d'ailleurs même pas dans beaucoup de domaines (journalisme compris). Notre système de jugement est basé sur des valeurs subjectives.

Donc à partir de là : Une critique, qu'elle soit positive ou négative, ne représente absolument rien et n'a pour objectif réel que de générer des conflits d'opinions

Je me permet donc de faire part au rédacteur de cette critique ainsi qu'à toutes les personnes qui crachent sur ce film ma haine envers eux et l'envie - que je nourris sincèrement et qui aura disparue d'ici peu - de les savoir déchus, voire morts et enterrés.

À bon entendeur, au revoir.

Gloubi
13/11/2014 à 13:08

si on est honnete (fan ou non de Nolan), il faut avouer que le film se regarde et on ne passe pas un moment désagréable. Sauf que techniquement, dans la mise en scene, dans le script et dans le montage... Nolan saborde ses personnages et son histoire avec de très grosses ficelles dans lesquelles il s'est emmelé. Le film est véritablement bavard, long pour très peu de scènes d'émotions. La fin est ultra rapide malgré la lenteur du début, et tout ce qui aurait pu être une belle métaphore de l'amour pere-fille, se perd dans une "fausse" science fiction sans conviction qui prend un peu le spectateur pour un demeuré. Genre, le point de convergence de la chambre de la fille est lié au coeur d'un trou noir ? C'est tellement simpliste et previsible (c'est le pire je pense) qu'on se demande si Nolan n'est pas en train de perdre pied depuis quelques films. Il est un bon réalisateur, mais qui ne stagne pas, n'évolue pas et a tendance à regresser. C'est un peu triste à dire, mais c'est vrai.

gorillclub
10/11/2014 à 11:29

j'ai bien lu : " le genial sunshine de boyle" ? pfiuuuu ca décrédibilise pas mal cette analyse je trouve ....

Aksal-A
09/11/2014 à 17:29

Content que les spectateurs aient vu ce film à sa juste valeur, eux.
J'avoue halluciner sur ce "décalage" d'appréciation des critiques d'écran large, et autres,, soi-disant spécialisés dans le cinéma,
Ne pas aimer, c'est une chose, mais certains arguments manquent cruellement d’honnêteté, tant pis...

Simon Riaux
06/11/2014 à 18:43

@Aimat
Vous allez rire.
Mais le pire c'est que je suis le moins virulent de la rédac.

Concernant le passage sur la planète de glace il ne sert à strictement rien, à part pomper Sunshine honteusement.
Les personnages sont exactement dans le même état d'esprit en en repartant qu'en y arrivant. Rien. Aucun changement.
Et je ne parle même pas des innombrables invraisemblances qui parsèment ces 35 minutes hilarantes.
Ah et sinon l'hommage à Prometheus sur la planète des surfeurs m'a bien fait rigoler.

almat
06/11/2014 à 18:14

"Le passage sur la planète dite de glace est ainsi intégralement superflu. Ni évolution notable des personnages, ni rebondissement marquant ne nous y attend."

Hahaha, Fallait rester éveillé Mr Riaux pendant la projection!

almat
06/11/2014 à 08:29

Je ne peux pas croire que toute la rédaction d'EL soit de l'avis de Mr Riaux.

Pseudo
04/11/2014 à 13:20

Quand écran large fait du écran large. Sans surprise donc.

T2000
03/11/2014 à 21:00

Rien à foutre de la critique. J'irai le voir pour dire que j'y étais. Bonne ou mauvaise. C'est le contrat de base qui me plait et non un 'je tourne autour de la terre pour mieux m'échouer' qui me fait tripper ! Perso, j'ai adoré gravity (ambiances, images, stresses) et malgré des raccourcis scénaristiques trop prévisibles. J'ai passé un bon moment.
Avoir l'esprit ouvert et non basé sur des recettes bien huilées qui aurait permis de rapporter plus de pognons. Et si c'était du cinéma intimiste ! Un Nolan dans la tête de Alfred Pennyworth qui a une vision plus large qu'un Gotham (la terre) déjà condamné (je sais ... je vais trop loin là).

Explikator
03/11/2014 à 17:34

Bah pour bien montrer que ça n'a rien à voir peut-être tête de pine.

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