zetagundam
20/03/2020 à 18:15

C'est quand même triste de ce dire que depuis que la Warner à décidé de saborder Justice League, et partiellement BvS qui lui reste quand même un des grands films du genre , nous ne verrons plus de films de Super Héros de cette qualité

Opale
20/03/2020 à 11:37

Un des tout meilleur film de super héros, respectant son matériau de base. Iconique, beau avec une vraie densité dramatique, un méchant (génial!) avec une idéologie et non pas un simple plan de destruction totale parce qu'il est méchant. Bref, un très bon film, un peu trop saturé de destructions dans un combat final trop long, je vous rejoins là-dessus. Top!

Rorschach
20/03/2020 à 10:36

J'ai eu un peu de mal à lire l'article en entier à cause de la première phrase que je trouve complètement à côté de la plaque: "Ce qui ressort de ce Man of Steel c'est qu'il s'agit peut-être moins d'un film de Zack Snyder que du nouveau Christopher Nolan"... Je trouve que c'est totalement faux, mais ça n'engage que moi...
Je voulais juste préciser que Zack Snyder n'avait pas au départ l'intention de lancer un DCEU, mais plutôt une suite de 3-4 films centrés principalement sur l'évolution de Superman, un peu comme ce qu'a fait Nolan avec Batman... Sauf que quand Nolan a commencé sa trilogie Batman, le MCU n'existait pas encore, mais quand Snyder a voulu faire sa suite de film, Warner a vu en ça une occasion de lancer leur propre univers étendu en vampirisant ses projets pour essayer d'émuler le succès de MCU qui commençait déjà à faire pas mal de bruit.

j en prendrais pour 1 d
20/03/2020 à 01:40

super film, là on a un vrai super héro pour le coup

Ken
19/03/2020 à 21:53

Très bon film

Marvelleux
19/03/2020 à 20:03

Enfin un film à la hauteur du personnage. Dommage que le DCU n'est pas suivi.

Gregdevil
18/03/2020 à 19:20

Un pur kiff. Du DBZ dans SuperMan. Merci Zack

Jojo
18/03/2020 à 19:11

Le meilleur film du mort et enterré DC univers imaginé par Zack Snyder !

Flo
19/02/2020 à 15:34

Alors voilà ! Comme chaque décennie l’univers DC live renaît avec Superman. Et comme chaque fois s’adapte à la décennie actuelle.
Hors donc ici l’idée serait que dans un monde qui n’a jamais connu l’icone de Superman (même en bd), tout y est plus dur et sombre, voir impossible.

Après un début absolument Magnifique (surtout avec La naissance, aussi belle et dramatique que dans le "Star Trek" de JJA) qui rend justice à Krypton et aux El comme jamais, la fonction du film semble se préciser.
Puisque presque Tout a été exploré en live sur l’univers de Superman dans la précédente décennie, c’est à dire dans la série tv "Smallville", qui jouait habilement avec les codes existant dans le comic, l’idée pour rendre le film contemporain et surprenant est donc de briser toutes les règles de cette univers. Au risque de le rendre plus Marvelien que jamais, c’est à dire plus « guerrier », comme on n’en est pas loin dans les comics DC du moment, très sombres pour tout les héros.
Oui, utiliser sa vision chauffante brûle Sups autant que les griffes de Wolverine lui perforent la peau par exemple.
Mais il faut toutefois préciser que cette version alternative repose au départ sur une Krypton détruite plus tôt dans le temps, par la guerre civile (comme dans "Smallville") plutôt que par l’effondrement du soleil. Et ainsi Kal El arrive sur Terre avec comme conséquence des pouvoirs plus puissants et développés dès son enfance, pas vraiment au fur et à mesure. Et qui affronte comme premiers ennemis des congénères aussi puissants et belliqueux en plus. Dans ces conditions, son apprentissage l’oblige à foncer dans la bataille sans avoir appris spécialement à être plus malin, plus prudent, et à être plus soucieux que jamais des dommages collatéraux qu’il pourrait provoquer. Impossible si l’armée de Zod le domine d’empêcher la destruction partielle de Smallville et Metropolis. Impossible aussi de trouver un moyen de vaincre Zod autrement que dans le film, ce qui change profondément sa nature s’il est maintenant capable de tels actes (sans compter le sort réservé au Codex).
On pouvait même craindre devant la « violence » de ses réactions un énième retour de bâton des héritiers Siegel et Shuster, qui ne manqueront pas à nouveau de monter au créneau devant cette utilisation du perso.
D’autres codes de Superman sont brisés ou réactualisés pour certains de manière moins troublante, comme la relation Clark/Loïs, supposément plus crédible dans un monde où on l’on peut cacher de moins en moins de secrets.
Sans compter les divers clins d’oeil auxquels on peut aussi rajouter le constant rappel à l’histoire de la science fiction littéraire et cinématographique... des engins extraterrestres ressemblant à des tripodes jusqu’à "Matrix" (dont on retrouve 2 des acteurs) en passant par la présentation en noir et blanc de l’histoire de Krypton… et 3 acteurs ayant joué dans "Smallville": Amy Adams, Mackenzy Gray et Alessandro Juliani qui y jouait le docteur Emil Hamilton et qui a une scène dans le film avec Richard Schiff… qui joue lui aussi Hamilton.

La mise en scène de Snyder muselé ? C’est peut-être le problème car celle ci reposait surtout dans ces autres films sur le coté graphique pour faire ressortir l’émotion des personnages (surtout dans "Sucker Punch"). Et cette émotion n’y est pas toujours constante sauf chez les pères « Robin des Bois », Costner et Crowe.
Pour les autres acteurs, Henri Cavill n’est pas vraiment le meilleur Superman car son Clark Kent n’existe qu’aux travers de flashbacks, et avec une enfance trop surprotectrice et craintive. Et quasi deux fois orphelin, ce qui est hyper agaçant, quand on a l' »old farmer » Costner quand même ! Au moins Cavill a-t-il la carrure, mais il semble plus intimidant et moins conciliant avec les gens qu’un homme inspirant le fameux Espoir de son blason. Il ne prend pas vraiment la peine de chercher des solutions, scénariste de sa propre vie, avant de frapper sans soucis de son identité secrète et de la sécurité totale de tous, et on ne s’émeut par assez pour lui. Tom Welling et Chris Reeve tiennent toujours le tenant du titre pour l’instant, mais ils ont eu plus de temps pour ça évidemment.
Amy Adams est toujours bine mais manque ici de pugnacité et de « folie » pour rendre totalement justice à Lois (et où est son père militaire alors !). Erica Durance et les précédentes actrices ne sont pas non plus vraiment inquiétées aujourd’hui.
Michael Shannon a des motivations « plausibles » et une rage incroyable, mais lui et surtout son armée n’ont rien de séduisant (à part la magnifique Antje Traue) et sont irrécupérables, de vrais méchants agressifs mais sans plus. Callum Blue y avait plus de temps dans Smallville, là encore il faut connaître le personnage pour pouvoir le déc(K)rypter.
Mais bon, peut-on comparer 10 ans d’histoires en temps réel de Clark Kent dans une série tv très sous estimée (même avec un budget télé conséquent), avec un blockbuster sensé être surtout de la bonne SF d’action faite pour un divertissement maximal ?
Bien sûr que non ! Mais dans une bande dessinée, ce qui est écrit est quand même aussi important que ce qui est montré. Et la promesse du début de lorgner autant sur la contemplation réflexive d’un Terence Malick que sur de l’action « DBZ » est absente du métrage, un peu hélas !

Mais honnêtement on ne peut pas ne pas aimer ce film à cause de l’icone du « Premier de Tous », et du potentiel réel qu’il peut représenter pour le monde entier. Même fictif dans notre monde, car tous le connaissent sans même en avoir lu un comic. Bien que le fait aussi qu’il fasse un énorme carton dans ce contexte économique et temporel peut d’ailleurs être symptomatique du public ciblé (on n’est pas bien loin de la structure scénaristique d’un "Transformers 3"). Rien de désobligeant envers ce même public, sauf s’il rejette l’idée d’émotion au profit d’une imagerie qui ne le gênerait pas si celle ci restait désincarnée.
On en est encore assez loin pour "Man of Steel", et personne n'a depuis fait en sorte que ça s'améliore.

Ce qui ressort aussi dans ce film, c’est l’impression que Zack Snyder retourne un peu l’image des Spartiates de "300" en décrivant Krypton comme une version futuriste et décadente de ce genre de société archaïque. Où les êtres sont directement créés « parfaits » et en batteries plutôt que par voies naturelles. Et où la conquête et le repli extrême sur sa propre industrie prévaut sur l’idée de se battre pour la justice et contre la barbarie. Ce que seul ironiquement l' »imparfait » Kal El représente dans le film.

On peut néanmoins aussi se demander qui blâmer à la production, donnant un peu cette impression de se désintéresser de la caractérisation poussée de l’essence du personnage ?
Pas les acteurs, généralement aucun sur les adaptations de comics ne sont des fanboys (exception faite d’Andrew Garfield);
Pas Nolan et Goyer, l’un adepte de la densité scénaristique, l’autre fan et auteur de comics... s'ils s'étaient plus impliqués;
Pas complètement Snyder, bourrin, fan maladroit mais plus exécutant qu'on ne le croit;
Pas DC, même si leurs comics actuels sont eux aussi plus sombres;
Reste que la Warner, peut-être…

Pourquoi alors si peu d’émotion dans le film ? Pourquoi va-t-il tellement vite au montage qu’on retrouve quasiment le même genre de structure que pour la plupart des films de Superman, à savoir un personnage presque unidimensionnel, réagissant directement aux ordres de ses pères sans les remettre en question – 33(!) ans avant d’agir quand même ?
Et ne devenant un héros que par ses propres choix et ses propres volonté et bonté naturelle. Que peut apporter comme événements importants un univers où tout commence Uniquement par les Kryptoniens, vu que Clark n’a jamais eu de véritable adversaires avant, voilà peut-être dans quel sens on peut apprécier au mieux le film.

Alors c’est peut-être la structure en 2 parties et en flashbacks du film qui annule la promesse de voyage intérieur qui pouvait porter avec plus d’émotion le personnage jusqu’à son destin. Mais pourtant "Batman Begins" bénéficiait lui aussi de cette structure. C’est peut-être alors parce que l’histoire de Supes est beaucoup trop connu pour tous, et pourtant on ne s’en lasse jamais, y a pas de raison.

Heureusement la dernière séquence du film permet de boucler la boucle avec le début, c’est à dire sur un bel instant d’espoir et même de légèreté (le sourire! ahh!) qui aura un peu peiné à ressortir au maximum sur 2 heures. Dire qu’il nous faudra attendre encore aujourd'hui pour voir les si promesses présentées dans "Man of Steel" seront un jour tenues…

Alors continuons d’observer et de regarder la prochaine "Résurrection", Up in the Sky.

GOD
08/06/2017 à 10:33

Revu le film.

Et je trouve que malgré quelque défaut toujours présent. Il vieillie trés bien pour moi !

Alors dans les défaut, Snyder doit refaire un peux toute la mythologique de Superman (Reboot oblige), et bien que j'ai adoré la partie Krypton et le cast, ont peut pas dire qu'il y va avec le dos de la cuillère. Tout ca fait un peux brouillon (speed).

Et LA séquence d'action de fin dure un peux trop longtemps a mon gout (et finie par ne plus faire d'effet), bien que ca soit du grand spectacle.

Pour le reste j'ai tout simplement adoré. Encore une fois l'approche de dépoussiérer le mythe était une trés bonne chose, tant le perssonage est un de mes favoris...et le mériter depuis longtemps. Mais beaucoup n'accroche pas au perssonage, vu qu'il représente LE parfait Boy Scout, trop lisse, trop parfait.

Or la, l'homme (car il s'agit de mettre en évidence sont coté humains), fait des erreur, se cherche, écraser par un trop lourd pouvoir (et destiner). Henry Cavill le joue avec beaucoup d'humanité et de subtilité. Et ce n'est rien comparer a BVS pour lequel ont ira plus loin sur la réflexion du héros (sur c'est actes, et si il a le droit d'interférer dans nos affaire).

Le reste du casting est tout aussi bon. Le choix de Russel Crow pour incarner Jor El est une excellente idée (et le mec déborde de charisme), de même que Kevin Costner en Jonathan Kent....en quelque scènes il déploie tellement d'intensité, de dramaturgie. Il saisie trés bien le caractère de Pa kent.

Diane Lane est aussi trés bien caster (et diriger), car tout ce petit monde sont vraiment bien diriger par le réa. Amy Adams incarne une Lois Lane déterminer, passionner, et beaucoup moins crédule que nombre d'adaptation de sont perssonage avant celle ci.

La réa de Snyder apporte une puissance presque palpable, lors des séquence (folle), de destruction a la Dragon Ball (ce qui fait plaisir de voir ENFIN l'un des plus puissant super héros en action), devant un tel perso, ou lors des séquence de vol. Bien que j'ai préférer sont visuel la encore dans BvS. Pour celui si, le ton donner correspond bien avec les début (maladroit), de l'homme d'acier.

Sans compter la BO (meilleurs que pour la suite, et plus inspirer), qui revisite des nouveau thèmes....et sont d'une puissance lyrique, a m'en faire chialer.

Bref ce reboot de Superman a certes des défaut, mais le résultat final vaut LARGEMENT les imperfection, il nettoie une ancienne icone, en lui donnant plus de coeur et de corps, brut de décoffrage mais avec une passion évidente !

4,5/5

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