Gaspard
20/05/2018 à 17:24

La force de Cameron, notamment sur Titanic, c'est de conserver une cohérence dans l'émotion pour non pas montrer un naufrage tragique mais le faire vivre et ressentir, bien qu'il eut à sa disposition ce qui se fait de mieux à Hollywood en termes d'artisans du cinema et un budget pharaonique (ce qui suppose donc des producteurs chiants qui pouvaient à tout moment massacrer son film). Ici, pour Avatar, il a tout pareil sans les producteurs relouds car James est le maître maintenant, et bien pourtant je ressens que dalle avec ce film! C'est grave docteur?

Arnaud
20/05/2018 à 17:01

Ouais la pour le coup je peux vraiment pas vous suivre sur cette critique.
D’un point de vue mise en cène, technologie, révolution cinématographique je vous suis totalement
Mais d’un point de vue scénario non alors la je ne suis pas d’accord avec vous. Ce scénario n’est pas seulement classique, il est également ridicule. Et le personnage du colonel est un archétype de debile de cinéma comme on en pas vu depuis très longtemps (et qui ne m’ont pas manqué une seconde)

Pour le visuel je met 6/5 même en note
Mais pour le scénario, je mets 0,5/5 ...