Kelso
15/06/2023 à 00:15

Je suis en Belgique du coup j'ai commencé à le regarder (car il est sur Disney+ depuis une semaine chez nous) mais vraiment du mal à rentré dedans, j'avais déjà eu du mal avec le premier. Oui c'est très joli mais à part ça... Après une heure de film je m'ennuie, je continuerais un autre jour.

Wolf
05/04/2023 à 15:49

Quelle blague cette note... Comment on peut autant investir dans le budget d'un film et sa com sans pensez à avoir un bon scenario comme base, ou même juste un scenario tout court...

Chris11
01/04/2023 à 23:02

Vu ce jour. Mais quelle bouse. Incroyable. Au moins le premier montrait quelques scènes de batailles aériennes incroyables. Il semblait y avoir l'équivalent sur l'eau dans ce 2e film, mais y a rien, genre rien. 30 secondes de Starwars III sur Kasshyk montre plus de combat sur l'eau que ce film en 3h. Et James Cameron continue de développes des archi-caricatures de personnages, les mêmes qu'il y a 30 ans.

"Malgré des faiblesses scénaristiques évidentes, le film est une prouesse" = Ah donc ça y est, c'est acté par vos soins que le cinéma aujourd'hui peut se contenter d'effets spéciaux et d'une belle photo, et que le scénario, les dialogues, le développement des personnages, on s'en balec? Magnifique.

kocopeli
12/02/2023 à 13:38

Nul beaucoup trop de remplissages, de longueurs, histoire incroyable au sens négatif, partis au bout de 2h et pas les seuls..!!

Eli
30/01/2023 à 21:25

Je rejoins le commentaire de Syl….Avatar 1 m’avait enthousiasmée et aujourd’hui je me réjouissais de découvrir Avatar 2 .Aucune émotion;de la violence tout le long du film qui a eu le don de me stresser et m’a fait oublié tous les moments merveilleux.J’avais très hâte de quitter la salle

CONVICT 626
29/01/2023 à 01:39

Parfait pour utiliser comme démo dans une grande surface pour vendre des téléviseurs.
Quand ils seront en 3D.
Une chose ne change pas, les gens aiment ce qui est plat et sans intérêt, comme eux.

Eusebio
25/01/2023 à 10:37

Tout ce flan... pour ça ?

Finalement vu ce film qui s'inscrit dans l'histoire du cinéma. Choix de la séance en VO, et donc, autour de moi, pas de dispo en 3D, pas en IMAX, pas en révolution technique de projection, juste une séance de cinéma au même titre que tous les autres films que je vais voir.

Peut-être passe-t-on à côté d'une révolution côté gadget, mais le constat est là, et cruel : au-delà des joujoux technologiques... il n'y a rien. Du vide. Du creux. Des personnages sans profondeur, dotés d'une expression de visage limitée par la technologie qui suscite peu d'empathie, mais surtout un scénario cousu de fil blanc prévisible une heure à l'avance. Qui peut parler de spoiler quand le vilain gros méchant du premier volet revient cloné avec les mêmes intentions bébêtes de revanche contre l'ennemi ? Avec un seul et même objectif : buter les gentils qui l'ont tué ? A l'aide de ses potos militaires en treillis qui mettent des lunettes de soleil et qui font claquer leur bulle de chewing-gum... Comment peut-on ne pas prévoir la mort de certains personnages, présentés comme attachants mais pas non plus le personnage principal parce que ça ferait trop mal ? Comment ne pas prévoir l'arrivée du paria venu sauver les gentils contre les méchants vraiment très, très méchants ?

Comment mettre autant de moyens technologiques et de promotion pour un scénario aussi banal ?

On répondra qu'il y a aussi des images superbes, un travail de la lumière remarquable. C'est vrai. Mais c'est loin d'être original. Un seul coup d'œil sur les reportages ahurissants signés BBC Earth suffit pour prendre une claque visuelle, sans 3D, sans ordinateur, ou en tout cas sans plan créé de toute pièce. Et c'est beaucoup plus touchant lorsqu'il s'agit de notre planète à préserver plutôt que d'un monde fictif.

C'est à ce moment que l'on sortira l'argument du miroir, et que les récits de mondes fictifs peuvent nous faire réfléchir sur notre propre perception du réel. Fort bien. Mais alors profitons-en pour aller au plus loin de l'émotion en nous régalant les oreilles. Pourquoi mener une production aussi coûteuse pour l'habiller d'une musique aussi conventionnelle, qui ne vaut pas celle des reportages animaliers cités plus haut ? L'ambition du projet méritait une composition d'ampleur, avec une thématique identifiable développée au fur et à mesure de l'intrigue, une recherche, une inventivité liée à l'univers que l'on nous présente. Là, c'est encore plus fade que le scénario, et ce n'est pas peu dire. N'y a-t-il aucun compositeur, aucune compositrice inspiré.e à Hollywood en ce moment ? Ou plutôt, ne leur laisse-t-on pas la place de proposer de l'inventivité ? A se demander ce qui est le plus grave, ou le plus triste...

En bref, un blockbuster de plus qui cherche à repousser des limites technologiques, certes, mais qui s'arrête là. Dommage.

Guihero
18/01/2023 à 12:00

Film vu en Imax Laser 3D avec lunette passive, en HFR dans une salle entièrement neuve ouverte le 15 décembre 2022 pile poil pour Avatar 2, au Mégarama Bordeaux Bastide.

L'écran : Monstrueux en taille, format parfait pour le film, vivement que je puisse voir et revoir des grands films dans cette salle, en 2D ou en 3D.
La 3D : Top mais s'oublie vite malheureusement, lunettes légères, pas gênantes, aucune gêne sur la longueur, techno passive si je me trompe pas, un léger voil sombre qui assombrit l'image mais l'écran étant tellement lumineux que ça compense largement la perte de luminosité apportée par les lunettes.
Le son : Impressionnant, les sièges tremblaient du fait des enceintes lors des moments intenses, l'impression d'être dans un cinéma dynamique sur cet aspect-là tellement les vibrations étaient fortes sans que le son ne soit gênant, assez fou et inédit dans une salle de ciné pour ma part.
Le HFR : Alors je dois avoir un soucis de vision, mais je l'ai quasiment pas remarqué, j'ai bien vu que les scènes d'actions étaient étonnament nettes, quasi aucun flou de mouvement sur tout le film, mais sinon aucune gêne rencontrée à cause des changements de fréquences d'image.
Le film : Très spectaculaire mais scénario bien trop faible par rapport à la débauche de moyens mise en place sur la DA et la technique, incompréhensible que James Cameron nous fasse le coup 2 fois de suite de nous pondre un film aussi beau et visuellement spectaculaire avec une histoire aussi basique et clichée, j'en reviens toujours pas plusieurs jours après avoir vu le film.

Bilan : 40€ à 2 pour ça, sans compter les popcorns et le resto, ça fait un peu cher la séance d'attraction futuroscope mais c'était pas non plus déplaisant.

Boddicker
10/01/2023 à 01:41

Ksix: "Je ressors de la projection 4Dx avec un léger malaise. Je réfléchissais à la portée philosophique très implicite de toutes les allusions qui jalonnent quasi chaque plan du film."

Pose toi mon pote...

"4DX", " portées philosophiques"

Flo
09/01/2023 à 13:30

Évident le succès : l’événement, les vacances, l’envie de relancer la fréquentation cinéma, les chinois qui ont enfin un film américain conçu pour ne jamais les froisser (et qui critique les seuls américains, et ne critique pas trop le modèle patriarcale).
Oui le premier film a marqué son époque, mais pas beaucoup la Pop Culture – pendant 13 ans, vous avez vu beaucoup de gens refaire des poses et des répliques de Jake et Neytiri ? Dans des émissions, dans des films ou juste à la machine à café ou dans une cour de récré ? Non, en comparaison des familles de super-héros ou des Toretto…
Normal : ces personnages sont eux-mêmes des archétypes.

Et la suite caresse toujours dans le sens du poil, jusqu’à surexpliquer certaines choses – pas besoin pour Lo’ak de dire « regardez, j’ai 5 doigts, je suis un monstre ! », puisque on le comprend beaucoup par l’image.
Inversement, Cameron va rater une seule image évocatrice. Celle où Neytiri (enfin au centre de l’attention) menace Spider, « un fils pour un fils ». Et pour cela, elle reproduit le geste qui tranche le lien avec une tribu, c’est à dire en entaillant le torse, comme lorsque Jake avait renoncé à sa fonction de chef pour mieux s’exiler.
Sauf qu’au final, aucun lien ne sera coupé pour Spider, ni avec Quaritch, ni avec la famille Sully. À moins que ça ne soit un teasing pour un autre film…

Mis à part ces petits détails, ce film réussit l’exploit de contenir beaucoup d’images évocatrices, et radicales (on tuent des baleines, maman et bébé). Et le public accepte, du moins jusqu’au moment où il s’interrogera plus profondément sur ce qu’il a vu.
Et la suite pourrait aller encore plus loin :

https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Avatar-3-montrera-de-mechants-Nav-is-le-peuple-des-cendres

Comme quoi, on sait toujours facilement vers quoi vont les intrigues de cet univers ;-)
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/James-Cameron-a-fait-changer-le-nom-du-dessin-anime-Avatar-Le-Dernier-Maitre-de-lair

C’est pourquoi on peut trouver que « …la Voie de l’eau » reste un film suffisamment autocontenu, et ne devrait pas tant nous laisser sur notre faim.
Puisque, après tout, il n’y a pas vraiment de suspense en jeu, pas de gros retournements de situation :
Neteyam est arrivé au bout de son arc narratif, c’est à dire qu’il était prévisible que ce suiveur serait le fils sacrifié…
Lo’ak lui aussi s’est accompli, a montré qu’il n’était pas inutile – manque plus qu’une union maritale avec Tsireya…
Kiri est bien sûr une « Jésus/Anakin », sorte d’immaculée conception – le fait qu’on s’interroge sur son père biologique laisse à penser qu’elle n’en a pas (soit c’est une sorte de clone auto engendrée, soit une union de Grace avec la divinité Eywa). Avec des pouvoirs cruciaux évidemment…
Et Spider rejoindra Quaritch, qui cherchera la rédemption…
Quant à Jake, possible qu’il meurt dans le 3, et laisse enfin la narration à Neytiri, qui pourrait (dans le 5, si l’on se fie au producteur Jon Landau) jouer les embassadrices « à la chef Raoni », sur Terre…

Après, il y a sûrement en ligne de mire la question du métissage : Jake s’est adapté assez vite à ce peuple, qui lui offrait tout ce que la Terre lui refusait (jusqu’à en quelque sorte les « dominer », selon l’expression consacrée disant que « pour vaincre l’ennemi, il faut coucher avec »).
D’une certaine manière, même en n’ayant pas des doigts similaires, Jake et son fils aîné sont les plus « Na’vis » car ils ne se posent aucune question, ils agissent en fonction d’une situation qui peut être dangereuse pour leur clan, et ainsi deviennent les garants d’un statu quo (ce sont des soldats).
Lo’ak et Kiri, par leur hybridation apparente, semblent avoir le potentiel pour révolutionner leur monde en cherchant des solutions là où personne ne va. Et ils vont l’apprendre à leurs parents (tout n’est qu’apprentissage dans ces films, jusque-là).

Ça peut également impliquer la « mort » des purs Na’vis, comme le suggère la disparition de Neteyam : pour survivre, ils devront faire une croix sur une partie de leur culture, et se mélanger à celle des humains.
Le résultat verra soit la dominance des humains, un petit peu comme pour les occidentaux en Amérique et sur une partie de notre monde.
Soit l’inverse, Pandora permettant de ce lier à… Demeter/Gaïa, disons ? Et la Terre de redevenir un monde où la Nature est en harmonie avec l’Humain.
Optimiste. Même si c’est un peu moins fort dramatiquement parlant, on peut parier à coup sûr sur cette conclusion, d’une logique totale.

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