Marc Balck Panther
13/11/2022 à 05:31

Je viens de voir ce film je trouve pas si mal, leur technologie l'ambiance générale du film Shuri en Black Panther je la trouve parfaite. Mon souci c'est toujours Namor je n'ai rien aprécié de ce Namor qui n'est pas fidèle au comics . Le moin pire des films Marvel finalement

Hank Hulé
11/11/2022 à 18:01

3 étoiles pour cette bouse encore pire que le dernier Thor ? Loool !
Ce film est interminable, ne raconte rien (les enjeux du début dont vite mis à la poubelle), les deux pauvres scenes d’action font pitié et l’on nous bassine de Boseman porn en se servant de sa mort pour nous tirer les larmes ad nauseum. Ce film est non seulement une merde mais aussi un crachat en pleine face. A fuir !

MARVEL-LOVER
11/11/2022 à 11:32

Nul à chier ! Je vous déconseille G perdu 240 mins de ma vie !

Andarioch1
11/11/2022 à 09:51

Pas vu le film mais pour ceux qui râle sur le look de Namor je rappelle qu'il correspond assez bien de la version Ultimate du personnage. Pour rappel la version ultimate des persos Marvel est une sorte de reboot destiné à l'époque a attirer un public jeune en rajeunissant les persos, spiderman en tête en lui redonnant ses 14 ans.
Ultimate a donné à Nick Fury la tête de Samuel L Jackson AVANT que ce dernier ne joue le rôle au ciné et a redéfini des caractères, voir des arcs narratifs, dont le MCU s'est très largement inspiré. Bref, le Namor de ce film, physiquement au moins, trouve toute sa légitimité dans les BDs

Nul
11/11/2022 à 01:19

J'ai dormis au cinéma devant ce film

Flo
10/11/2022 à 12:53

"Mais qu'est-ce que tu me Wakanda ?!"

- Une bande dessinée, un héros, une nation imaginaire, des envies de scenarii plus ouverts au Monde. Et toute la symbolique simple, fière et amusante qui en découle.
- Un film qui transpose cela sur grand écran, contenant aussi bien le cœur de son réalisateur qu'un aéropage d'héroïnes étonnantes, d'antagonistes excitants et d'une esthétique inédite. Et touche le monde entier en lui offrant quelque chose d'à la fois évident et peu vu.
- Des analyses bien souvent médiocres, comme sur tous les blockbusters Tout Public (trop bon pour être vrai). Qui ne comprendront jamais le plaisir du spectacle global et sérialisé, brut (fidèle aux comics Marvel d'ailleurs, souvent exégètes du dessin brouillon et biscornu), sans l'arrogance de se prendre pour une élite de la beauté et de l'orfèvrerie.

Idem ici, même malgré le drame injuste de la mort d'un comédien alors en plein état de grâce - son histoire s'écrivant ainsi à l'aune des futurs films qu'il n'aura jamais pû tourner. Et des épisodes auxquels son incarnation de T'Challa ne participera pas.
Dans une Phase IV de Marvel Studios, "qui dérange, tellement elle expérimente en faisant tout ce qu'il ne faudrait pas faire"... Qui a édicté ça ? ce qu'on a le droit de faire ou non ? Qui sont ceux qui se moquent vraiment de l'intelligence émotionnelle des spectateurs ? Qui accusent et jugent exagérément, mais en utilisant eux-mêmes des éléments de langage qui se croient plein d'esprit ?

Exemple de réflexion caricaturale et naïve : si ça a de l'expérience et des centaines de millions de dollars de budget, faut forcément que ça soit maîtrisé de A à Z, et devenir de plus en plus sophistiqué.
Non, du flan... C'est la sincérité qui compte, l'implication et le fait d'aller jusqu'au bout d'une idée, sans honte, sans ne parler qu'à un seul public (ancien) en snobant les nouveaux émergeants, sans se croire plus intelligent qu'on ne l'est et sans non plus de mépris.
Rien de mal à avoir une structure industrielle qui marche, et qui étale ses compétences sur la durée au lieu de la concentrer d'un coup... et qui a décrété qu'on n'avait pas le droit de faire ça ? Il n'y a pas Un type de cinéma, unique... il y a Des types de cinéma, divers et normalement accessibles à tout le monde (selon les âges).
Et selon les évolutions des modes de diffusion - là aussi, c'est quelque chose qui s'étale dans le temps (est-ce un tacle de dernière minute, maladroit, à la France qu'on y voit passer là ?).

Il y avait un plan, évoquant un deuil bref qui verrait le retour amer d'une fratrie royale... Il y a eu une évolution, et l'inclusion du deuil réel et définitif (au moins dans cette continuité là - ce n'est pas compliqué du tout à comprendre).
En osant à nouveau "faire ce qu'il ne faut pas faire", alors que l'histoire des super-héros de comics nous a prouvé mainte et mainte fois que c'était possible, et intéressant :
Qu'est-ce qu'on devient quand on a perdu l'espoir incarné ? Comment on trouve le moyen de continuer à avancer, alors que l'univers (étendu), avec ses obstacles envieux et ses personnages nouveaux arrivants, frappent à la porte... avec leurs propres espoirs potentiels.
Et bien on fait, on utilise, on ne stagne pas sur tous ses acquis, tout en en gardant suffisamment pour ne pas perdre son identité, car on n'est pas des révolutionnaires.

Qui de l'œuf ou de la poule est arrivé le premier ? Choisir de piocher dans les légendes précolombiennes pour mieux laisser l'Atlantide à "Aquaman", et ensuite engager un acteur latino en conséquence ? Ou l'inverse, découvrir cet acteur capable de jouer le jeu, et adapter tout son royaume en fonction ?..
Choisir de piocher dans des histoires existantes où la sœur prend difficilement la place du frère, et où il existe un antagonisme improbable entre des nations séparées par des kilomètres de terres... Pourquoi pas, dès le moment où il existe une construction narrative permettant de mêler ses scenarii en un...
Choisir de tourner très difficilement avec des contraintes physiques, en gardant une date butoir (quoique possiblement mouvante), et de ne pas être à 100% de netteté visuelle, ni d'avoir le temps de créer de l'image très virtuose... c'est à dire choisir d'être toujours là au rendez-vous des salles (et des abonnements), comme un évènement festif populaire et régulier, avec la responsabilité de faire en sorte que ça ne soit jamais trop imparfait...
Les esprits chagrins ont beau s'en plaindre (en ont-ils vraiment assez, ou bien sont-ils jaloux de ces succès sans faille ?), il s'agit bien ici d'un type de "film monde", ne se contentant plus d'un héros, d'une amoureuse, d'un vilain et hop on réfléchit et on tourne. Non on croise des franchises, et donc à la fois un film Black Panther Et un film Namor Et un film sur Riri Williams (avec même un petit peu de teasers pour "Secret Invasion" et "Thunderbolts").

Alors on a un Namor avec plus de menton (poilu) et de colifichets, et moins de front (originellement si haut qu'on le croirait botoxé)...
Portant sensiblement la marque de sa productrice Victoria Alonso (jolie réinterprétation latine du nom du protagoniste) très très impliquée dans le studio.
Fidèle à un caractère fier, arrogant, violent, versatile, puissant. Un peu trop tendre par moment, mais ce n'est pas bien grave si on s'éloigne de son modèle comics, parangon de machisme adolescent lourdingue.
Quant à la pertinence à voir Ryan Coogler le mettre en scène avec son peuple aquatique, et s'éloigner beaucoup de l'univers du Wakanda malgré que s'y créé une sorte de "cousinade"... elle est toute trouvée si on tient compte qu'il s'agit de deux peuples forts et cachés, gardant de grandes traditions tribales... et qui sont proches de l'extermination, la soumission, bref de la disparition totale à cause de la menace des états industrialisés (pas uniquement occidentaux). Une extinction glaçante, qui touche même la propre famille royale.
Cette thématique offensive doit particulièrement tenir à cœur du réalisateur, donnant des airs de thrillers géopolitiques hélas toujours pas aboutis (la poursuite à Boston n'est pas excitante, les arcanes du pouvoir sont bien trop survolées).

Certes la future Ironheart est placée dans l'intrigue en en devenant un enjeu, mais aussi en reprenant la place de jeune fille noire inventrice, non conventionnelle et insolente, qui était dévolue jusque là à Shuri.
Cette dernière étant le fil rouge passionnel du film, à l'évolution surprenante qui la voit devenir un personnage aux contours plus rudes, encore plus en butte aux traditions de son pays.
Permettant de ne jamais trop s'éloigner de toute cette histoire de Deuil, grand thème (Pixarien) de cette Phase IV. Laquelle avait débuté en explorant des étapes telles que le Marchandage dans "WandaVision" (avec "Black Widow", il s'agissait déjà d'histoires où des femmes prenaient le temps de parler avant de passer à l'action), jusqu'au Déni récemment dans "Thor - Love and Thunder" - donc non, "Black Panther - Wakanda Forever" ne rachète rien du tout de cette année 2022. Il va dans la même direction mais en regardant les choses différemment.
Ici c'est plus la Colère qui domine, d'une Reine Mère impitoyable à une fille en quête de revanche. Mais même quand arrivent des batailles entre armées belliqueuses, on finit toujours par revenir à ce côté intimiste, en un mano à mano sans pitié émulant le final de "Volte-face". Qui, s'il ne raconte effectivement rien de nouveau par rapport au précédent film ou même à la fin de "Captain America - Civil War", se permet alors de boucler la boucle en se mettant dans les mêmes pas. Juste d'une autre manière, furieuse, mais toujours en cherchant sa façon de trouver la résilience.

Malgré un bon travail d'ambiance esthétique et sonore, l'action de ce film connait encore un certain déficit de fluidité, de vélocité, de viscéralite et de clarté - l'omniprésence de scènes sombres, non stylisées, n'aide pas réellement à donner un aspect plus grave à cet opus de toute façon poignant, dénué de tout chantage à l'émotion...
Les comédiens ont une implication qui est variable, la plupart dévorant l'écran avec force et second degré (on s'y permet même un clin d'œil jouissif à une scène culte de "Predator")... d'autres étant sous-utilisés, faute de plus de temps (avec un Daniel Kaluuya pas disponible, Danai Gurira n'a plus qu'à devenir un relief comique et la rivale de Attuma ? Michaela Coel s'est-elle au moins amusée ? quand verra-t-on les réactions des civils ?).
Un certain caméo se permet même de contredire un fantasme de fans de reprise du rôle de T'Challa, en appuyant bien sur l'importance du caractère d'un personnage pour justifier qu'une icône ne devienne pas superficielle.

2 h 30, des arcs narratifs parallèles en attente de développement et une flopée d'épilogues "à la Seigneur des anneaux" peuvent paraître bien lourds, pour un film émotionnel, même pas conclusif à une franchise.
Peut-être que c'est parce-que plus la grosse conclusion d'une Phase cherchant à marier la flamboyance avec la sobriété. Ainsi, le traditionnel générique de fin marvelien récapitulatif est remplacé par une flambée symbolique, placée entre deux scènes pleines d'une tendresse mélancolique.
Résultat : c'est toujours suffisamment une réussite. Enthousiasmante, oui.

MIJU
10/11/2022 à 00:59

J'en sors et je suis étonné par le ton plus grave du film et plutôt justement dosé. Je n'ai pas aimé le premier film mais celui-ci est plus à mon goût, pas parfait, mais moins loupé que le reste. Namor est intéressant, et cynique. Le reste est du Marvel.

Bear
09/11/2022 à 23:57

Loin de moi l'idée de dire que c'était mieux avant, mais je sors tout juste du film. Alors effectivement la complexité de devoir "gérer" scénaristiquement la disparition de Chadwick Boseman est plutôt bien gérée et émouvante. Par contre, le reste de l'histoire...bof bof...Et aussi, comme souvent dernièrement, les CGI très aux fraises, et même des problèmes d'échelle dans la réalisation (tous les plans semblent plus étriqués, plus cheap que dans le premier épisode)...Bref, pour moi, une conclusion de la phase 4 à la hauteur du reste de la phase.
Dommage.

Loozap
09/11/2022 à 22:37

Le film ci est tellement attendu

McCoy
09/11/2022 à 21:40

Mais quel navet !

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