Julio88
07/09/2022 à 20:12

Le seul truc qui m embête, c'est de recycler des vieux concepts en mode parité, défense des minorités. Des films d actions avec des femmes, y en a des bons, des films en tout genre avec des "minorités", ça me va bien. Mais arrêtez de vouloir imposer ça dans des suites, des remakes, des prequels,... On pourrait juste lancer des nouvelles idées pas déjà exploités et bâtir ça avec de nouveaux acteurs. Les nanards des années 80, c était des gros bras qui se sortaient de situations improbables. Voila, c était une époque, y avaient des clients, c'est l histoire du cinéma. Réinventer le cinéma, on demande que ça.

Simon Riaux
07/09/2022 à 17:55

@Morgane Lafée

Nous ne portons aucun jugement sur personne, ni sur aucun goût.

En revanche, si on ne reproche pas aux fans d'apprécier le côté gros bras, celui-ci n'existant pas à proprement parler, étant donné que Predator se veut une attaque en règle contre ce concept et une déconstruction radicale de l'idée même de "gros bras", la nostalgie qui l'entoure est, à tout le moins, idiote.

Morgane Lafée
07/09/2022 à 17:41

Et si certains fans aiment le côté "gros bras" du film d'origine, qui êtes-vous pour qualifier leur reproche de "débile" ? L'emploi de ce mot dans le titre prouve surtout que vous portez des jugements débiles sur les goûts des autres.

Ridik
07/09/2022 à 14:30

Par contre, serait-il possible de vous relire avant de publier un article. C'est pas la première fois que je le vois mais on dirait des posts qui ont été traduit avec Googletrad et postés tel quel. Vous perdez en crédibilité...

Ridik
07/09/2022 à 14:27

Le fait que ce soit une femme l'héroïne ne me dérange pas mais à force de tout mettre au féminin, il commence à ne plus y avoir de testostérone...

Manu21
07/09/2022 à 12:50

"Je pense que les gens se rappelaient de Predator comme un film de "Gars avec des gros flingues, tabassant la créature avec.", heu non non, on se rappelle surtout très bien à quel point les flingues étaient inutiles et comment Schwarzy arrive à gagner contre le Predator. Le mec en arrive à faire passer les fans du premier film comme des gros débiles. Si son film avait été réalisé après celui de McTiernan, il se serait bien fait démonter, seulement voilà entre le premier et celui là, on a eu que des mauvais films donc forcément vu ça remonte légèrement le niveau, on est dans l'exagération sur ce dernier volet.

Birdy à plumes
07/09/2022 à 12:04

@ Kara : effectivement, cela fait partie des innombrables incohérences du scénario.
Et pour la super héroïne boostée par cheat code soudain à la fin, le réal à rien à dire ?
Qu'une crevette adorable et bonne actrice nous la joue ninja fatal, pourquoi pas, mais préparez le !! Qu'elle soit déjà plus forte que son frère, par ex, qui lui se sacrifie pour la sauver car elle n'a (1h avant) aucune chance de gagner.

Et que le predator ne sache pas utiliser ses armes, même si c'est un jeune qui fait lui aussi sa 1ère chasse (mais c'est expliqué nulle part) : bah ça rend le monstre idiot et incompétent, désolé.
Le scénariste a tout fait à moitié, là où le Predator de McTiernan est un réel survival de folie, qui joue sur les genres pour amener la masse de muscles (Schwarzy génial dans ce rôle) indestructible à trouver (beaucoup) plus fort que lui. Qu'il revienne aux méthodes de chasse primitive, c'est la classe totale pour ce militaire surentrainé, qu'il gagne par ruse c'est bien trouvé car en face à face, il n'a aucune chance. C'est clair, net, et compris par le spectateur depuis 30 ans.
Sauf pour le réal et ses scénaristes apparemment.

rick rangerous
07/09/2022 à 11:25

Le probleme de Prey , c'est pas qu'une femme batte le Predator , c'est plutot l'impression vraie d'une Mary-sue qui passe de "je m'entraine toutes seule a jeter un hachette avec une ficelle sur un arbre " à "je fais des enchainement de ninja, je defie la gravité et je bute un Predator " Il suffit de regarder le cinema Asiatique ou les personnages ont 99% du temps des physique svelte , homme/femme , mais degage quand meme une impression credible de puissance grace a la mise en scene et a leurs aptitudes sportives/martiales .
On ne sent pas ça avec Naru , mais un personnage cheaté qui avec aucune experience , aucun entrainement guerrier , arrive a terrasser un personnage mythique du cinema SF . Faut se rendre compte qu'avec ce film l'image du grand chasseur intergalactique , prend un coup dans l'aile . En mettant un Predator loin d'etre impressionnant et pas vraiment fut fut , tu le transforme en creature lambda , et ça ca s'appelle tuer le mythe .

KARA
07/09/2022 à 10:24

Que l'héroïne parvienne à piéger le Prédator en utilisant son cerveau, pourquoi pas ?
Moi ce qui me gène surtout c'est la plante magique ! Genre elle abaisse la température du corps au niveau de l’hypothermie, et sans aucunes conséquences ? Alors déjà en hypothermie, bah on est à deux doigts de la mort, on tremble, on est paralysés, etc. ET c'est ce qui se passe à TOUS les mecs à qui l'héroïne donne son médicament. Elle: quedal, woualou, zéro, nada, AUCUNS effets secondaires à par baisser sa température..... et surtout EN QUELQUES SECONDES après ingestion? Sa plante, c'est de l'azote en poudre où quoi ?
OK les gars, c'est de la science fiction. Mais la suspension d'incrédulité, y'a des limites....


07/09/2022 à 10:07

Film et actrice sympas. Quelques gros défauts cependant, la force brute d'une créature qui vainc un grizzly au corps à corps, une proie qui se joue d'une technologie de pointe, un scénario peu inventif et surtout un manque de dialogues comanche ( vu qu'il y a peu d'échanges verbaux).

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