Nyl
29/07/2022 à 13:16
@Emperor Kouado
Et ta mauvaise foi est légendaire aussi.
Désolé, mais les FX de Marvel sont tout, sauf extraordinaire. Ils sont d'un basique incroyable.
Nyl
@Emperor Kouado
Et ta mauvaise foi est légendaire aussi.
Désolé, mais les FX de Marvel sont tout, sauf extraordinaire. Ils sont d'un basique incroyable.
Emperorkouado NM
Mis à part 2 ou 3 fonds verts hideux dans thor 4 et dans no way home, les effets spéciaux de marvel restent de très bonne facture. Doctor strange in the multiverse of madness, les eternels et thor 4 étaient de véritables claques visuelles au cinéma. La bande annonce de black panther wakanda forever dévoilée récemment nous promet également une claque visuelle avec de très belles scènes sous marine qui rivalisent avec celles d'avatar 2
Même les séries qui ont un budget moindre comparées aux films bénéficient de très bons effets spéciaux (mention spéciale à miss marvel et au rendu des pouvoirs de son héroïne qui est vraiment très beau)
J'avais un peu peur des effets spéciaux de she hulk mais la deuxième bande annonce dévoilée au comic con m'a rassurée avec des effets spéciaux qui ont été grandement améliorés.
Marvelleux
Dommage, le premier avengers est réussi au niveau des effets spéciaux.
Il y a certe beaucoup de cynisme
chez Disney. C'est dû au fait que les films Marvel et Starwars ne sont pas conçus comme des films mais comme des produits industriels. Du coup on est dans une optique de maximisation des profits sans plus aucune trace d'artistique. L'artistique n'est pas ce qui est relatif à l'esthétique mais ce qui a trait au point de vue singulier d'une personne, d'une équipe, qui ne va pas forcément dans le sens du plus grand nombre. L'artistique est ce qui risque de diviser le public.
La production de type industrielle n'est normalement pas adaptée à la conception d'oeuvres artistiques. Théoriquement l'art produit des objets uniques. Quand on entre dans la petite reproduction on parle d'artisanat et quand on entre dans la production en grande série, on entre dans le giron de l'industrie. Ça veut dire qu'on est obligé de vendre au plus de gens possibles pour faire des économies d'échelle. Et dans ce cas, on doit faire le maximum pour que le produit trouve le plus possible de gens prêts à l'acheter.
On doit donc faire des études de marché, faire beaucoup de publicité, et éviter de diviser par des choix artistiques ou politiques, les consommateurs. Rien ne doit être un frein à l'acte d'achat.
Dans le néo-libéralisme économique, on maximise les profits et pour ça il n'y a pas trente six solutions, il faut minimiser les coûts. Et ce qui coûte aux capitalistes, ce qu'ils considèrent comme un frein à la maximisation de leurs profirs, c'est le travail humain.
Donc on externalise un maximum de tâches pour diminuer la masse salariale, et l'informatique permet ça assez simplement. Les effets spéciaux ne sont plus réalisés aujourd'hui comme quand Lucas a créé ILM dans les années 70/80.
Aujourd'hui, les effets spéciaux numériques sont réalisés autant par une entité centrale avec quelques personnes mais aussi par un maximum d'indépendants ou de petits studios un peu partout dans le monde. Exactement comme dans le secteur de l'animation.
Ça permet la sacro sainte flexibilité si chère aux managers de notre temps. Ça permet aussi de mettre en compétition tout le monde avec tout le monde et de tirer les prix vers le bas.
Comme dans d'autres secteurs de l'informatique comme le développement logiciels ou l'infographie, les concurrents sont originaires des pays en voie de développement comme l'Inde qui fournit des armées de développeurs compétents travaillant sans protection sociale et à des tarifs très bas. Et on peut leur imposer des changements de dernière minute, les obliger à bosser 7 jours sur 7 si on est charette, etc.
Le secteur des effets spéciaux numériques prend cette voie et la qualité s'en ressent.
D'abord parce qu'auparavant les équipes étaoent toutes au même endroit et que la ou les personnes en charge des effets spéciaux était un réalisateur à part entière travaillant en étraoite collaboration avec le réalisateur principal. Il y avait une communication avec tout le monde tout le temps.
Les films Disney-Marvel ne sont plus réalisés de cette manière et ça pose des problèmes logistiques et de continuité artistiques et technique.
Mais comme les gens qui produisent n'ont plus aucun lien avec le cinéma et que pour eux le cinéma n'est qu'un produit financier comme un autre et qu'ils sont en position de monopole ils se disent sans doute que même mal fini, même sortis à l'arrache, leurs produits trouveront le public.
Et quelque part ça paye vu les chiffres au box office. C'est ça le cynisme, c'est quand on sait qu'on fait de la merde mais qu'on n'a aucune raison de faire autre chose puisque le public achète quand même.
Le truc, c'est que pour obtenir de tels résultats, il a aussi fallut changer le public qui va au ciné et se séparer des cinéphiles. Le public de cinéma qui répond présent à toutes les prods Disney n'est ni un naze ni un coprophage, c'est juste un consommateur lambda qui trouve son compte dans ces divertissements creux et répétitifs.
ttopaloff
She Hulk, franchement c'est dégueu... Mais pouvaient-ils vraiment mieux faire ?
cgi du tiers monde
ces films sont avant tout des produits marketeux et de la grosse daube bien cynique ..sauf quelques films film comme le premier Iron man,ou le premier doctor strange ou le captain america de Joe Johnston de 2011, j'en ai vu que quleques uns, alors y en peut etre des bons a citer
et le public continue a aller voir ces daubes, qui tournent a vide,
si le public va voir du degueulis en masse a, a un moment on leur fout du degueulis en pleine face,
Proverb 26 11: Comme un chien qui retourne à ce qu'il a vomi, Ainsi est un insensé qui revient à sa folie.