Terryzir
18/07/2021 à 01:56

"En récompensant mon film, le jury reconnait le besoin viscéral qu'on a d'un monde plus inclusif et plus fluide. Blablabla..." - J. Ducournau, plus académique que jamais avec tous ces mots-valises qui révèlent la monstruosité de notre époque (et l'insignifiance de cette Palme).
On y est bien dans ce conformisme du non-conformisme, non ?
Mais on la siffle quand la fin de la récré ?
N'avez pas fini de nous polluer les rétines avec vos histoires de genre non-genré qui n'intéressent que vous et votre clique de freaks bien dans le vent des subventions ?
Vous le dépasserez quand votre stade phallique (Freud) ?
A quand le retour d'un cinéma qui redonne ses lettres de noblesse à cet art dévoyé par ces "monstres" de démagogie ?
James Gray, tu fous quoi ???

JR
17/07/2021 à 23:11

Pas encore vu le film (mais je pars sur un mauvais a priori), mais ce qui est dingue avec Cannes, c'est cette effervescence de cinéma... Mais souvent sur la cérémonie, c'est un pétard mouillé...

Après, un certain regard et la quinzaine restent de valeurs bien plus sûres.

Sanchez
17/07/2021 à 21:48

Dommage qu’il ait éventé le suspense car ça reste une grosse surprise comme palme d’or . Ravi de ce palmares , titane a ses défauts mais ça reste une œuvre radical qui remue le cinéma français et le cinéma de genre.

Kyle Reese
17/07/2021 à 21:23

Bravo à Julia Ducournau !
C’est osé ce qu’elle fait, c’est osé de donner la palme à ce film pour des tas de raisons et c’est cool ! Un film de genre à petit budget radical d’une jeune réalisatrice française qui gagne à Cannes … je suis ravis. Après pas dit que je vais aimer mais on s’en fou.

fuck
17/07/2021 à 21:22

Spike Lee a été traité de tous les noms. Ce soir c'était Gaston Lagaffe.