Beerus
31/10/2020 à 13:18

@ Simon Riaux.

Je pense que Gaumont s'est aperçu que le film était pas terrible et la largué sur Netflix en utilisant l'excuse du virus.

Birdy
31/10/2020 à 10:39

Il a aussi un problème d'approche culturelle selon moi. Il cherche trop à "faire de l'américain", fasciné comme nous par Heat, les films mafieux, etc. Chacun de ses films est ultra référencé, hommage trop marqué pour trouvé sa propre identité. Sa direction artistique est souvent too-much.

Birdy
31/10/2020 à 10:35

Marchal devrait mieux s'entourer, en production et en co-scénariste. Lui seul fait encore ce genre de film sincère sur le milieu, les flics, que ça se veuille réaliste ou fantasmé, mais il se perd trop parce que cinématographiquement, ce n'est pas au point. J'appuie pour MR73, qui sent le sous Silence des Agneaux, sur-appuyé jusqu"à la caricature, là ou Jonathan Demme restait chirurgical, sobre, et laissait la performance de ses acteurs, d'un scénario fantastique, porter sa mise en scène.
Mais je ne pourrai jamais m'empêcher de trouver ce réalisateur/acteur attachant, et nécessaire au cinéma français.

Pat Rick
31/10/2020 à 09:37

Bronx est un polar correct mais qui manque de panache et qui n'a rien d'éblouissant.
Le final en fait un peu trop.

The insider
31/10/2020 à 09:29

Grand fan de marschal, j avais déjà pas aimé les lyonnais qui a été coupé et charcute, et fait à la vas vite, Bronx deuxième coup dur . C est quoi l histoire ? Et cette totalement foiree à laquelle on ne comprend rien. Un bon gros ratage , pour lequel j attendais beaucoup. Dommage

Simon Riaux
31/10/2020 à 01:42

@Mr Blabla

Attention, il ne s'agit pas d'une commande Netflix. C'est un film Gaumont, produit pour sortir en salles.
Netflix l'a acquis suite à la crise actuelle et à l'insécurité économique qui en résulte.

Mr Blabla
31/10/2020 à 00:50

On sent que ça sent la commande Netflix... Petit budget, petit casting et scénario qui s'autoparodie. Si c'est pas le cas, c'est plus grave encore !
Parce que voilà : Olivier Marchal est devenu cynique, aigri, il radote et revisite lâchement ses vieux tubes.
Bronx (mais c'est quoi ce titre ?), c'est rien de moins qu'un mix de 36, MR73 et Braquo qui a tourné vinaigre.
Et côté technique, ne parlons pas des faux raccords qui se ramassent à la pelle (scripte et monteur stagiaires ?), des giclées numériques à s'en péter la rétine et autres pétarades foireuses, mal chorégraphiées, injustifiées.
Il a même pompé directement une scène de Heat ! Celle avec la caisse sur le parking et le sniper. On voit bien qu'il ne s'agit pas d'un hommage, sinon collatéral...
Pourtant Carbone était super, son chef-d'oeuvre avec 36.
Mais bon, faut bien manger, et aujourd'hui c'est Netflix qui sert la pâtée.

Gordon
30/10/2020 à 20:30

En général j’adore les films de Mr Marshall
Mais là j’ai strictement rien compris .
Et la fin du film ...nul !!!

Policier français année 80
30/10/2020 à 18:19

ba le Marshall, il vous decrit le metier des flics des années 80, ce qu'ila vecu en vrai, donc des flics qui faisaient des enquetes en immersion, donc ils allaient dans le meme lieu que les caids, se tapaient les meme gonzesses, finissaient par avoir les vices des caids et finissaient par faire eux me leur propre trafic de drogue lol,
( et çà continue toujours ces traffic de drogue, entierment maitrise par les barbouzes du ministere de l'Interieur français

Zarbiland
30/10/2020 à 17:44

Grosse déception, qui fait passer le sympathique balle perdue pour un chef d'oeuvre.

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