FLYONE
01/11/2020 à 10:05

J'AI BIEN AIME DOMMAGE QUE LE PERSONNAGE JOUE PAR KARRIS NE SOIT PAS PLUS DEVELOPPE UN MANQUE CRUEL D'EPAISSEUR CA CHANGE DES MERDES AMERICAINES
BON LES CRITIQUES IL N'Y A PAS QUE MICHAEL MANN COMME REFERENCE PARCE QUE LA FIN DE HEAT EST NUL A CHIER ET PARLE PAS DE CERTAIN EPISODES MIAMI VICE

Maski mask
01/11/2020 à 04:50

Honnêtement j'en attendais beaucoup de ce polar signer olivier marchal un peu déçu mais pas mauvais pour autant, j'ai quand même passe un bon moment mais il faut le dire on ne ressent rien pour les personnages (dédicacé au flic alcolo) même pas un peu d'empathie pour aucun d'eux, car tout va vite, histoire avance tellement vite que des fois je ne comprenais pas ceux qui se passaient, après le visionnage j'avais l'impression de regarder le dernière épisode de la série sans avoir vu les premiers épisode.

Boris36
01/11/2020 à 01:39

Et bien moi j'ai bien aimé. Désolé les persifleurs. Prenez donc une caméra et on verra... Il est vrai néanmoins que le film manque parfois de lisibilité. Sinon, quelle noirceur...

Ly’qa
01/11/2020 à 00:49

Vraiment nul

Birdy
31/10/2020 à 22:05

@ John Wick : c'est exactement ce que je dis : on a une tradition du polar à la française, et Marchal s'évertue à recopier le cinoche américain sans lui insuffler d'âme.
C'est lui même qui revendique Heat et Michael Mann pour 36. Le reste ne sort jamais des schémas et personnages à l'américaine.

Ahtssé
31/10/2020 à 21:11

C'est vrai que ce n'est pas un chef d'œuvre et que certains personnages (beaucoup trop) n'apportent rien.
Les dialogues fonctionnent en partie à travers le charisme de certains acteurs cités plus haut. Les scènes d'actions sont néanmoins réalistes, courte et brutale.
Hâte de voir le second volet de ce long métrage. Ahah...

Romain
31/10/2020 à 21:01

Qu'est-ce que c'est fadasse! Franchement, il n'y a rien de rien. Les scènes s'enchaînent sans aucun enjeu, rythme. Des dialogues insipides.

Talcan
31/10/2020 à 20:18

Deception

Mr Blabla
31/10/2020 à 18:55

@Simon Riaux @Beerus
Je n'ai pas dit qu'il s'agissait d'une commande Netflix mais que ça pouvait s'y apparenter, vu les canons actuelles de ses productions tape-à-l'œil qui sonnent creux. Gaumont a dû halluciner de voir le résultat. Mais déjà au scénario, pourquoi ils n'ont pas tiqué ? Une des explications serait la coquette somme d'un Fond de soutien générée il y a 10 ans. Il devait rester pas mal de ronds à allouer en urgence à un projet de Marchal, même sorti de derrière les fagots. L'autre bourru ne s'est pas fait prier et nous a torché ce machin infâme. Netflix s'en est emparé, à cause (ou grâce au ?) du virus pour une bouchée de pain, je suis sûr. Parce que ça vaut pas tripette, on va pas de mentir.
@JohnWick91
Marchal se revendique de Michael Mann et de Melville. Et on se demande bien pourquoi... À part une esthétique plus léchée, je ne vois pas. Avec 36, il nous a fait un remake de Heat. Et dans ce navet, il pompe carrément une séquence du film de Mann. Je veux bien qu'il soit dans la lignée d'un Giovanni, mais les amerloques sont passés par là depuis, et ça crève les yeux (et l'écran) qu'il les a en adoration au point d'en pondre des resucées même pas subtiles.

JohnWick91
31/10/2020 à 13:45

Quand il y a des flics dans un film, tu cherches forcément à faire l'américain et la seule référence c'est Michael Mann ?
Le cinéma policier est un genre français en soi, nous n’avons pas attendu l'arrivée des amerloques pour en faire !

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