XG58
16/02/2020 à 16:44

Leur meilleur film, cette année? Invisible man. Désoler, mais au vu des bandes annonces, il a l'air bien barrer. Surtout avec cette paranoia

Pedro
16/02/2020 à 15:13

Super article, j'ai beaucoup aimé votre façon d'expliquer la genèse de Blumhouse et comment cette société a fait pour devenir aussi rentable aujourd'hui.
Je regrette juste comme vous que parfois ils exagèrent à produire certains films et selon moi Bulmhouse est simplement l'arbre qui cache la forêt c'est a dire qu'aujourd'hui dans la plupart des cas film=rentabilité on en oublie le côté artistique pour faire de l'argent y'a qu'a voir le dark universe d'universal qui est un parfait exemple de cette quête de l'argent à Hollywood.

Grift
16/02/2020 à 14:19

Super article. J'ai appris plein de choses et relié pleins de film à Blumhouse (pour certains je n'en avais aucune idée. ex : Sharp object)

Heatmann
16/02/2020 à 13:31

Upgrade... J'adore ce film, et ce twist terrifiant !
Et aussi un meilleur film Venom que le film officiel de Sony. À voir absolument.

Hugo_Le_Blaireau
16/02/2020 à 13:31

Dossier intéressant, mais je me posais la question de pourquoi tant de films passables et faciles entre plusieurs gros projets. Sûrement les limites de leur méthode mais ça peut être un moyen de financer leur projets plus ambitieux. Dans le même style, le cinéma d'exploitation italien dans les années 60-70 servait à financer les films des réalisateurs plus "prestigieux" comme Fellini, Antonioni etc Loin de moins de comparer les deux mais la même logique peut être derrière, faire du projet "facile" pour financer des projets plus ambitieux et coûteux.

bof
16/02/2020 à 12:35

Merci pour l'intéressant dossier! Je n'étais personnellement pas conscient de l'emprise tentaculaire de Blumhouse sur le genre horrifique.

Un bon film sur dix... la proportion me paraît correcte.