JR
18/12/2021 à 14:14

@Flo
Oui, même ressenti.
Après, cela reste un exercice de style, le changement de cadre manque parfois, capter l'émotion au plus près a l'instant T.
Ca reste un grand film.
Il est fort Sam... Fait chier.

Camille
16/07/2020 à 07:17

Encore une bonne blague ce film. Supposé ce passer au nord de la France, mais on voit tt de suite des paysages anglais avec des torrents. Il ne se passe rien, les 2 acteurs principaux sont miyens. Vous prenez les 10 1res et les 10 dernières minutes et vous avez le film. Quand aux acteurs connus mis dans la distribution, on les voit 30secondes et encore Colin Firth je l'ai pas trouvé

kenshiro
08/04/2020 à 14:21

comment ont peut mettre 4 étoile a une daube pareil trop mou

Marc
04/03/2020 à 20:49

Les points fort du film la virtuosité de la réalisation les acteurs George Mackay un acteur à suivre. Encore une fois raconter une histoire qui se passe en 1917 aujourd'hui en 2020 sa me semble étrange pour par dire dépassé !? Prendre comme contexte cette guerre 14 18 ou la derrière mondiale je peux tromper pour moi c'est un manque de créativité d'un classissisme. A voir.

Fraise
15/02/2020 à 22:47

Il y a des défauts, certes, j’ai un peu décroché au début, mais le plan séquence a bien opéré sur moi et réveillé mes angoisses (peur de subir une guerre mondiale) le temps du film. En revanche, la chute d’eau c’est réaliste ? Enfin bref des petits trucs comme ça rien de bien méchant. Les 2 personnes parties avant la fin du film, je vous juge!

Pat Rick
08/02/2020 à 11:21

Bon moment de cinéma mais pas si épatant que cela.

tonton Strange
05/02/2020 à 16:52

@Flo
J'aurais pas pu trouver meilleure critique. J'ai ressenti pareil et pense pareil. Pour la même conclusion, pas un chef d'oeuvre mais un film que je prendrai plaisir à voir et revoir, je pense, ne serait-ce que pour sa mise en scène.

Flo
28/01/2020 à 15:36

Avant « 1917 », il y eu 1895…
Car au début du cinéma, il y avait bel et bien le Plan-Séquence.
Il était fixe, mais il consistait bien à voir des choses apparaître (puis disparaître) dans un Cadre donné par le réalisateur – « La Sortie de l’usine Lumière à Lyon » ou « L’Arrivée d’un train en gare de La Ciotat ».
Ensuite vint le mouvement du Cadre… puis, le Montage comme dimension supplémentaire à la dynamique de la Mise en Scène…
Enlever ce dispositif de Montage revient à concentrer sa mise en scène sur ce Plan sans coupure… et donc à faire une Mise en Scène de pure « Action », où des choses importantes sont obligées de se passer dans le Cadre.

Avant « 1917 », il y eu « Spectre » pour Sam Mendes…
Ce Plan-Séquence inaugurale qui… finit en eau de boudin, avec ensuite Bond à la poursuite d’un personnage semblant sortir d’une parodie porno du « Parrain », dans un fight d’hélicoptère, sans rien en avoir à fiche des badauds alentour (les « OSS 117 » de Dujardin l’ont bien signifié: ce type n’en a rien à faire des pays où il intervient, et détruit tout sur son passage ???? ).
Où comment l’utilisation d’un Plan-Séquence dans un film d’action à franchise passe très souvent pour de la bonne esbroufe, sans grande valeur narrative derrière… juste un intermède pour faire remuer un peu la Mise en Scène, sans plus.

Mais avant « 1917 », il y eu aussi le grand-père de Sam Mendes, et ses histoires de guerre de cette même époque. Et en même temps que « 1917 », il y a le « Brexit » (et juste avant, « Dunkerque »), soit une volonté personnelle et sociétale de parler d’un esprit de camaraderie dans une époque de conflit, où le chacun pour soi est de plus en plus une norme à suivre automatiquement.
Bien sûr, on peut ainsi tomber dans des effets de patriotisme et autre glorification du Courage Héroïque etc… D’autant que l’histoire du film et ses péripéties n’ont pas grand chose d’inédit: c’est en gros une mission à la « Soldat Ryan » (c’est à dire « foupoudav », à la con ???? )… et évidemment, tout ce qui doit arriver de mal surgit au moment où tout semble calme – forcément, quand on passe la majorité de son temps sur des routes désolées, à découvert.
Et ce même si les héros principaux sont joués par des acteurs peu connus… là non plus, on identifie assez vite celui qui est le plus « solide » pour tenir la distance le plus longtemps.

Alors pourquoi ce « 1917 » peut faire plus que fonctionner, alors qu’il n’offre pas grand chose de si extraordinaire que ça, que du « classique » ?
Et bien parce que justement, ce contexte assez classique permet à la Mise en Scène de prendre le pas sur Tout, de s’exposer au point d’avoir une Vie propre… qui est donc plus fascinante à regarder qu’à y décrypter les propos symboliques de l’intrigue.
Comme « …La Ciotat », il y a régulièrement quelque chose de Stupéfiant à voir surgir ou disparaître des foules de détails du Cadre, ce dernier étant définit comme une « Bulle » entourant les personnages principaux, sans s’en détourner.
La scène de présentation du début est en elle-même impressionnante, et donne le Ton pour la suite.
Aucune trop grosse utilisation spectaculaire de ces Plan-Séquences (dont on repère facilement les moments de raccord – tel fondu au noir, tel caméra qui s’éloigne…).
Ainsi, si on comprend très vite ce vont subir les personnages, il est peut-être bien plus satisfaisant de comprendre la façon dont va fonctionner le cheminement visuel, les codes auxquels tout ce qu’on y voit est soumis – basiquement les mêmes que pour un jeu vidéo, mais dont le spectateur ne serait pas le maître.
Ce qui est une chose que les nombreuses critiques n’ont pas trop pris en compte… en tant que film de poursuite et d’action « 1917 » est aussi bien Fun, assez Ludique, ces héros se cassant la figure, blaguant pendant les temps morts, générant assez d’empathie pour qu’on les suive.

Et puis Surprise ! Sam Mendes semble l’avoir aussi pris en compte bien en amont, comme pour ce qui est de son montage (invisible)… et se permet aussi à un moment donné de casser ses propres codes pendant une certaine durée.
Non seulement c’est justifié, mais en plus cela permet d’y introduite ce qui pourrait être le réel climax du film, mélangeant des visions oniriques dans une ambiance arrivant tout de même à garder un certain réalisme – un retour à ce bon vieux « Réalisme Poétique » ?
Un électrochoc que ce moment là… instaurant de manière encore plus évidente la notion de Fatigue, de Descente aux Enfers Dantesque et de « Mort qui marche ».
Mais aussi celle de « Résurrection », ce que vers quoi appuie peut-être un peu trop le Final du film, devenant plus une sorte de Grand Rush en ce qui concerne le héros principal, de plus en plus dépouillé et de moins en moins soldat… Son arc narratif personnel, dont les détails sont disséminés en cours de film, respecté jusqu’au bout (avec les quelques interprétations plus « ouvertes » qu’on peut y inclure soi-même).

Bref, peut-être pas un Chef d’Oeuvre, comme proclamé à tort et à travers… mais un Très Bon moment de Cinéma, Oui.
????

Poilu
26/01/2020 à 15:45

Le film ne tient pas toutes ses promesses, le scénario est simple, sans doute trop. Mendes s'appuie trop sur la technique et oublie l'importance de l'histoire à raconter. Manque de réalisme aussi, comme la ferme construite au fond de la cuvette d'un champ, tranchées constituées de remblais de carrière. On est en droit d'attendre beaucoup mieux.

Dirty Harry
26/01/2020 à 12:49

Autre chose qui a fait vacillé ma suspension de crédulité : le prétexte de cette mission.
"Vous voyez, ces plans sont ultra-importants et engagent la vie de 1 600 soldats. Donc on va les confier à un caporal, avec un autre capo qu'il nous a ramené, mais on ne va surtout pas faire plusieurs équipes avec plusieurs exemplaires de la lettre (histoire d'augmenter nos chances), on ne va pas essayer d'aller de l'autre côté en avion, on ne va pas tenter le coup avec la radio, tout repose impérativement sur ce que vont faire ces deux clampins.
– Excellente idée, mon général !"

Plus