stef13013
11/10/2019 à 15:42

Entierement d'accord !
Bravo pour cet article

Euh
09/10/2019 à 10:46

À lire et relire, à des années lumière en termes d'écriture et de subtilité du film Joker

Rudy Mako
24/09/2019 à 19:25

Le meilleur affrontement Batman /Joker que j'ai jamais lu et vu. Masterpiece !

Geoffrey Crété - Rédaction
22/09/2019 à 12:11

@RDM

Oui un bug. Tant mieux pour les non abonnés :)

Erwan
22/09/2019 à 12:07

@Opale : Ouais White Knight est absolument génial dans son traitement du Joker. Pour moi c'est un classique instantané.

Opale
22/09/2019 à 11:01

Un classique, un chef-d'oeuvre. Juste à coté le White Knight est aussi un sacré morceau d'écriture maligne.

RDM
22/09/2019 à 09:58

@Ecranlarge y a un soucis non !? J'peux lire votre article entièrement sans avoir l'abonnement....

Adam
22/09/2019 à 00:06

C est dit dans l article d EL qui cite Bolland mais je le répète: c est UNE des origines possibles du joker. Il dit lui même dans un autre comics que depuis son bain d acide il n a plus de souvenirs précis de son passé, que des scènes s entremêlent mais qu il n est pas sûre que ce soit arrivé...

danny_1952
21/09/2019 à 18:40

Je suis d'accord avec Nolan. En matière d'horreur, moins on en montre, plus on laisse l'imagination du cinéphile travailler, mieux c'est.

Je ne sais plus qui comparait le Hannibal de Manhunter à celui du Silence des agneaux. Qu'il ne me dise pas que le meurtrier en série de cette scène-ci de Manhunter n'est pas extrêmement troublant.
https://youtu.be/y07Z8YVbjbs?t=60

Pourtant, il ne fait rien de plus que de rester à proximité de la femme qu'il convoite et regarder ce qui se passe.

Erwan
21/09/2019 à 17:42

Oui The Killing Joke est à lire absolument mais attention, c'est pour public averti. L'oeuvre demeure assez malsaine et dérangeante. Ce n'est pas un défaut car totalement dans le propos, toutefois faut pas avoir peur d'être mis mal à l'aise durant sa lecture.

Aussi si Killing Joke demeure une référence pour toute adaptation du personnage, ce que j'apprécie dans la com faite autour du film Joker c'est qu'il ne cite pas le comics a tout bout de champs. Todd Phillips declarait même que les plus grosses influences de son film tenaient davantage dans des films des années 70 tels que Taxi Driver et Vol au dessus d'un nid de coucou. Il voulait que son personnage ai une folie "barroque", de celle dont on ne peut pas rationnaliser les actes. Vous me direz c'est le propre de la folie. Sauf qu'aujourd'hui cette dernière se voit souvent identifiée, mis dans des cases psychiatriques. Un personnage n'est plus seulement fou, il est atteint de troubles maniaco dépressif, de bipolarité, de PTSD. D'un côté tant mieux ca souligne l'avancée de la psychiatrie mais aussi une avancée dans l'etat d'esprit des gens concernant les maladies psychiatriques (qui peuvent toucher tout le monde, un dépressif dans ses phases les plus basses peut carrément virer dans le nihilisme total proche d'un Tyler Durden).

Toutefois pour le Joker, cette approche barroque de la folie est une excellente idée. C'est ce qui le rend d'autant plus effrayant. Il n'est pas que dépressif ou pervers narcissique... il est autre chose, une force destructrice, nihiliste et qui s'amuse de cela.

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