Tom holland
10/09/2020 à 19:41

SPIDERSMAN E DEGA MOURI DANS AVENGERS INFINITE WAR IDIOTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTT

mwa
05/06/2020 à 01:41

J'ai vu le film 2 fois mais les petits bémols c'est que normalement May ne sait pas que Peter c'est Spidey, et au début quand on voit mysterio, on sait que c'est un méchant. Sinon, c'est un très beau film, Peter (Tom Holland) est plutôt sexy.

Kyle Reese
07/05/2020 à 10:55

Film bien fait vite vue vite oublié. 100% ok avec la critique.
J aime bcq Jack-gyllenhaal mais il est sous exploité.

En fait c le côté histoire colonie de vacances teenager que j ai apprécié le plus finalement.
Mais tout le film est sans conséquence. Un petit Spiderman assez banal.
Avec bcq moins de moyens mais une foi profond, sincère et du talent Raimi a mis la barre tellement haute qu il sera très difficile de faire aussi bien.
Pas besoin de toutes cette technologies de pacotille pour faire une bonne histoire. (Ok faut vivre avec son temps et les drones)
Et puis le mandarin était déjà un peu passé par la niveau méchant illusoire.

Cacouac
07/05/2020 à 10:18

C'est fou comme Marvel et son MCU réussit, au fil du temps, à rendre ridiculement lisses et insipides tous les personnages de son catalogue (Hello Hulk !). Un cas d'école !

Nyl
07/05/2020 à 08:44

Le pire Spiderman que j'ai vu au cinéma. Et dire qu'on crachait sur Amazing (l'une des meilleurs représentations pour ma part)
Quand je vois ce qu'on a, à la place, c'est pathétique.

Nico1
06/05/2020 à 22:45

Par contre faire passer des hollandais pour des belges fallait le faire quand même

Marvelleux
06/05/2020 à 21:02

Vivement spider-man New Generation 2.

zetagundam
06/05/2020 à 19:08

Pas le pire des Marvel, un suspens bidon car dès le départ tous ceux qui on un minimum de connaissance en comics savent quel est le rôle de Mysterio, au moins 20 minutes de trop pour au final un film plaisant à regarder, mais sans plus, et au final, la trilogie de Sam Raimi peut dormir tranquille pendant encore très longtemps

Flo
30/01/2020 à 10:11

« So far away from N.Y.
So far ago from Queens
I’m no one but a spider
But a spider, a spider »

Cinématographiquement… tout a été dit dans Spider-Man 2…
Comme pour toutes les sagas filmiques, les plus courtes sont les meilleures… pour les Forcenés de « l’excellence ». Des gens « prise de tête » qu’ils ne faut surtout Jamais écouter ni imiter.
Oui, passé un ou deux films, on tombe plus dans la logique de l’épisode/remake etc… Plus d’intemporalité, chaque film est une extension narrative… chaque film (de super héros), de toute façon, verra les héros triompher d’une manière ou d’une autre…
Ce qui compte, c’est ce qu’il y a de raconté dans cet intervalle… Et que, surtout, chaque film reste fidèle à sa promesse de départ.

Un divertissement ? Ça doit divertir le public à l’Instant « T ».
Une histoire de héros passant à l’age adulte ? Elle doit aller jusqu’au bout, quel que soit le contexte. Jadis pour le Spider-Man ciné, ça se passait finalement entre 3 personnes (Peter/MJ/Harry, dans leur bonhomie conservatrice)… puis entre deux, faute de mieux (Peter/Gwen, un peu plus dans le tragicomique)… et même avec encore plus de monde (et d’effets de mise en scène) dans le film Spider-Verse.

Ici, dans le MCU, les choses sont claires: Vive la Mondialisation, à bas le repli sur soi (et l’excès de 1er degré)… La plupart des grands studios jouent cette carte progressiste, et c’est tant mieux…
Mais ce qui reste présent chez le Spider-Man joué par Tom Holland… c’est paradoxalement cette problématique de toujours rester trop isolé malgré le fait qu’il vive dans un monde où il n’est pas le seul héros, où il n’est pas obligé de rester bloqué à vie à New York…
Rien n’est jamais facile pour lui, plus que pour n’importe qui (« la Malchance des Parker »).
Devenir un homme ne veut pas dire être très sérieux, en conséquence… C’est pourquoi le personnage garde son identité spécifique, et ne peut être pris pour un simple clone de Superman/Captain America.
L’idée d’être Responsable/Inventif Et aussi Rigolo dans sa condition, de ne pas choisir entre l’un ou l’autre mais d’être 50/50 (sinon, n’importe qui s’effondrerait devant le poids du danger et des échecs)… C’est sa vie, avec ou sans Vengeurs ou Agents Secrets dans les pattes, sur « son » territoire comme n’importe où ailleurs dans l’Univers.
Pas de prise de tête prétentieuse on vous dit… de la Fiction, faite un peu plus « en série », mais qui ne va pas s’adresser uniquement aux obsédés du Sens et de la Maturité à tout prix, qui sont assez méprisants envers un « troupeau » se contentant seulement de ce résultat amusant.
Car les snobs aussi sont un troupeau. Mais eux, ils s’ennuient tous seuls.

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Pour cette suite solo, mais qui amène les apparitions du Spidey MCU (qui se partage pour l’instant entre 3 réalisateurs) à 5 films…
On continue à tenter de s’éloigner un peu de l’archétype super héroïque qui se circonscrit uniquement à la ville (de New York)…
On continue à jouer à « l’ensemble cast » plus qu’au petit groupe, certains servant moins la soupe au héros qu’on le croirait.
En fait – Début des « Spoilers »

… puisque l’on sait comment ça ne peut que finir dans un film super héroïque (reprise en main du héros, victoire ardue et « sauvetage du Monde »), Marvel s’amuse d’abord à aller dans une autre direction, dans d’autres sous-genres cinématographiques.
Ici, plus que le Teen-Movie, c’est le Film de Vacances, en mode « touristes candides (américains) qui ne sont pas beaucoup sortis de chez eux ». Où chaque personnage défend sa propre partition (beaucoup d’improvisation de texte chez Marvel), les principaux acteurs étant fidèles au caractère attachant de leurs rôles respectifs…
les nombreux secondaires, en totale ignorance de ce qui se pourrait se passer autour d’eux, et en plein délire humoristique.
Même Peter Parker est encore plus dans cette ambiance, lui aussi « en vacance », en détente ignorante en fin de compte, même s’il y a quelques personnes à sauver, tout de même.
Et le film de tenir cette ligne jusqu’au bout, dans sa première moitié.

Évidemment, pour les trop sérieux qui ont oublié dans quelle ambiance estivale il fallait être, tout ça peut paraître bien trop idiot pour avoir un quelconque intérêt… On peut se fiche de voir untel personnage secondaire faire son numéro gaguesque… on peut s’irriter de cette dérision toujours à l’extrême limite de la caricature… de la première scène post-Logo Marvel (un gag musical, mais typiquement naïf et ado) à la dernière scène post-générique (en fait, c’est pour ça que Nick Fury était si bête)… d’encore tout ramener à Tony Stark plutôt qu’à Oncle Ben… de ces flirts ados éternellement ballots mais gentillets.
Ce n’est pas du tout subtil, ce qui n’est objectivement pas péjoratif – le studio prend au sérieux la fabrication du film, et moins le Genre.
Il faut donc attendre que passe la première partie du film, peut-être plus amusante pour un public US habitué aux films de Road Trip, pour qu’ensuite le film raccorde enfin avec le drama super héroïque, plus connu des fans – connaisseurs de l’univers de Spidey ou non… tout en utilisant les graines d’intrigues disséminées avant.
La différence flagrante entre les deux parties distinctes de ce film/épisode peut néanmoins entraîner des divisions sur « laquelle des deux est la meilleure ».

Évidemment, Mystério était un faux-cul, ici en mode « Syndrome dans les Indestructibles », ce qui était révélé dès la première bande annonce…
S’il confirme la place du MCU dans les intrigues de l’araignée en faisant de ses vilains des « récupérateurs », se créant en recyclant à leur manière égoïste les « restes » des aventures des Vengeurs…
Celui-ci se positionne surtout en vilain ultra actuel, propagateur de Fake News à son profit… une sorte de Troll absolu, répandant des mensonges assez Gros pour être crus tout comme des vérités blessantes, poussant jusque dans ses retranchement sa maîtrise de l’Illusion qui détourne (de manière méta?) des techniques cinématographiques, telle que connue dans les comics.
Là, c’est à sa révélation que le film décolle donc avec des scènes d’action de plus en plus vertigineuses, d’autres types de « Trip », bien que plus « cartoon » que dans un film de Dr Strange… mais qui ont leur utilité narrative puisque, jusqu’à la fin du film, mettant Peter Parker face à sa trop grande confiance envers les gens. Et comment cela peut vous perdre, à force.
Tom Holland trône encore mieux au milieu du cast, à basculer de maladresse à l’énergie, de la légèreté à la gravité. Et Jale Gyllenhaal d’utiliser aussi bien sa partition d’acteur « calme » que celle « foufou ultra expansif ».
Les apparences y sont si trompeuses que Sony aurait pu faire un combo entre la sortie de ce film et celui du dernier Men in Black, plutôt qu’en repêchant au dernier moment des éléments de Captain Marvel. ????

On peut même saluer une certaine continuité dans l’identité de réalisateur de Jon Watts, arrivant à faire vivre des personnages jeunes sans trop en faire des têtes à claques (comme dans son « Cop Car »), et sachant montrer des héros aux prises avec des malédictions catastrophiques (comme dans son « Clown »). Pour un employé de film de studio, il sait ne pas trop dévier sa propre Ligne.
Idem pour la musique virevoltante de Michael Giacchino, tout fonctionne sans trop d’accrocs.

Donc, l’intention de départ n’est toujours pas trahie: c’est un Blockbuster Estival et Rythmé pour Petits et Grands, pas un Objet Filmique ultra sophistiqué réservé à une Élite critique.
Ainsi, le fait de ne pas voir plus Loin et plus Innovant dans ce film, ça n’est pas et ça ne sera jamais synonyme de « mauvais », de dispensable »… tant que le contrat initial est rempli.
De toute façon, aucun film ne peut être totalement terminé, bouclé de telle sorte qu’on ne puisse y rajouter plus ou enlever moins. Le rythme général doit compter, et être en accord avec les choix de narration. Même si ce film, présenté comme une Conclusion de Phase Marvelienne, est aussi une sorte de Transition en attendant des bouleversements futurs, plus rudes encore.
Si on comprend ces choix, alors on comprend le film.
L’accepter est une autre chose, qui ne concerne que les goûts personnels du spectateur (qui est un tantinet prévenu à l’avance). C’est si ce spectateur se retrouve tout seul qu’alors, les choses peuvent se gâter.

Peu de chance ici: sur la foi des retours habituels, de l’ambiance toujours hilare et enthousiaste du public dans la salle et de la qualité globale, Spider-Man reste toujours populaire, arrive encore à se réinventer…
L’un des Meilleurs et des plus Charmant Super-Héros qui existe, c’est celui qui a le plus la loose… Quelle belle ironie. ????

« Ah, home, let me go home
Home is wherever I’m with you »

Fraise
20/09/2019 à 19:58

On aurait dit un épisode d'une série Marvel. Ça aurait été ça, ça aurait été très bien. Mais c'est un film. Et il est d'une grande banalité pour un film. Ceci-dit j'ai été bien diverti...

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