A Andarioch
D'accord, j'aime(ais) les deux, je ne faisais pas attention à tout ça. :)
C'est marrant je pensais que les décideurs étaient plus obséquieux envers leur tête d'affiche.
Un grand film
"J'avais dit que je te tuerais en dernier"
"j'ai menti"
(bon je n'ai pu la tournure exacte mais un grand moment)
A De passage
Effectivement il pouvait y avoir deux camps, Stallone étant plus bourrin sans humour et Schwarzy plus second degré, les publics n'étaient pas forcement les mêmes
Ce film est formidable de second degré. Les punchline sont tellement énormes que j'ai failli me chier dessus la première fois à force de rire.
- C'est pas un avion ! C'est un bateau avec des ailes !
- Eh bien monter à bord et commencez à pagayer !!
La scène de Scharzy aurait été dans le ton du film. D'ailleurs il découpe à tour de bras, c'est le cas de le dire, avec des outils de jardin, dans le combat final où il est coincé dans la petite cabane. Une bonne pub Jardiland !!
Outre les raisons générationnelles, c'est pour cela que je reviendrai toujours sur ce site : pour ce genre d'article qui a tout compris à la vie.
https://www.youtube.com/watch?v=pNVmXyZUerg
Moi ce que j'ai noté dans ce gros nanar-plaisir coupable parfaitement assumé est de voir à quel point l'invention du portable a complètement changé la narration et rendu certaines scènes impossibles. La course-poursuite dans l'aéroport vers les cabines pour prévenir que Swarchy s'est barré serait impossible maintenant.
"Voit que Swarchy s'est barré.
Swarchy cours vers le méchant.
Le méchant envoie un SMS.
la fillette meurt.
Fin du film."
t'avais 5 ans en 1985, fais pas style que t'as connu la sortie de Commando...
Le film par essence de la punchline.
- John... comment va ton bras?
- Viens vérifier par toi-même.
... Bennett, arrête tes conneries et laisse partir la fille.
- C'est moi que tu veux. Je n'ai qu'un seul bras. Tu peux me battre.