Hayte
09/01/2020 à 17:52

Omega est à St Seiya ce que Super est à DBZ... se sont des séries immatures et sans âmes !
DB est mort avec le volume 42 malgré un GT qui reste anecdotique et fan-service...
Cependant Battle of Gods est très intéressant sur certains points , il intègre parfaitment la transition entre la fin de Buu et le tournois avec Pan. Ce qui pourrait résume la fin de le série...Goku est devenu l égal d' un dieu avec un cœur d' enfant et l' âme d' un gerrier ! Une belle fin pour cette série, non ?

ethan
31/03/2019 à 22:28

db humour dbz serieux dbs humour serieux. On aime les personnages Beerus, Hit, Caulifla, Zeno. Après il y a l'effet club do. C'était le rdv pour tous les enfants. Il y avait un show que n'a pas dbs. Après il y a des trucs qui vont pas. L'arc boo est nul. Gohan adulte n'a rien avoir avec Sangohan petit et ado. Le personnage est mal dessiné. Bizarre car Sangohan ado niveau coiffure ressemble davantage à goku

Lucifigus
25/03/2019 à 21:06

Honnêtement j’ai pris plaisir à lire Dragon Ball Super. Je suis d’accord avec l’esprit des évolutions sayen (sans fin) qu’on retrouve, et autres clins d’oeil comme Goku qui n’avance que pour l’amour du combat, même si ce n’est plus du tout subtile.
En revanche, quel dommage de s’attarder autant à comparer les animés quand on sait que DBZ était deja une purge a l’ecran :)

Peut être est-ce pour ne pas trop décourager une lecture en cours de production, mais Super est critiquable sur pas mal de choses à mon sens: tout avance trop vite - végéta et goku deviennent des clichés d’eux même - tenter de laisser la terre au centre de l’histoire semble dérisoire tellement l’univers devient vaste - etc

Merci et continuez vos critiques !

TomTom
22/03/2019 à 21:30

Je rajoute une layer : Dragon Ball était quand même bien bien Oolong par moment :-)
Ça manque dans DBZ :
"Dragonball, sodomie, exhibitionnisme et autres joyeusetés sur le sexe :-)"
http://japon.canalblog.com/archives/2016/12/07/34659503.html

TomTom
17/03/2019 à 15:08

A la lecture de l'article, passionnant, j'ai relevé une grosse erreur : l'humour, omniprésent dans Dragonball (Les couilles du dragon soit dit en passant) n'est pas absent de DBZ, au contraire.

Boo est très drôle mais c'est surtout Mister Satan qui est à se tordre de rire. Comment il est ridicule, lâche, idiot, pleutre mais, finalement, tellement attachant que c'est lui qui arrivera à convaincre les terriens de croire en Son Goku pour battre Cell.

OK, on est pas au niveau de Docteur Slump mais là, c'était vraiment un cas extrême d'humour pipi caca pervers, très japonais je crois.

baalares
12/03/2019 à 14:26

Et bien, il y en a des haters ^^
Regardez le massacre orchestré depuis les années 2000 sur Saint Seiya, regardez ce qu'ils ont fait de cette autre licence culte des années 80... La version animé du chapitre Hadès qui n'a d'animé que le nom, Saint Seiya Omerda, Saintia Sho, Saint Seiya Netflix...
Non, on pourra raler tant qu'on veut, mais le cadavre de Saint Seiya a tellement été violé, que non, Dragon Ball Super est un chef d'oeuvre comparé à ça...

La Paloma
12/03/2019 à 08:36

Super est un gros doigt d'honneur qui ne respecte rien, un mauvais machin opportuniste qui n'est là que pour le fric et utilise abusivemt le nom de la saga La seule mauvaise idée de Dragon balk gT était de transformer Sangoku en enfant mais la série était magnifique, les combats gardaient l'âme de la saga et l'émotion et l'attachement aux personnages était rester intacts que pour Dragon Ball Z. Le final avec Sangoku qui dit au revoir à ses amis m'a fait couler une larme.

Chevalier Shakka
11/03/2019 à 17:57

Article intéressant et avec pas mal d'éléments qu'il faut effectivement prendre en compte (ce n'était pas forcément mieux avant).
Le souci c'est que ce dossier se focalise avant-tout sur l'Anime. C'est de bonne guerre, mais au final l'adaptation de la Toeï n'est qu'un simulacre de ce qu'est vraiment Dragon Ball. Parce-que si on commence à vouloir attaquer le manga original, c'est déjà plus compliqué de le prendre à défaut. Et la comparaison avec le travail de Toyotaro est encore plus flagrante.

D'autant que votre dossier utilise parfois des arguments restant un peu trop en surface, livrant une vision un peu biaisé de l'oeuvre originale.
Je prends le cas des transformations. Coller en vrac GT ou les films/OAVs c'est un peu facile pour donner la sensation que les transformations dans Dragon Ball c'était déjà n'importe-quoi, alors que pas vraiment en fait.
Sans faire vingt pages, je prendra juste les transformations de l'arc Buu. Oui c'était un peu la foire à la saucisse, mais il y avait une règle d'Or à laquelle Toriyama se tenait : le final était toujours dans la version la plus sobre.
Après s'être transformé à n'en plus finir, la dernière forme de Majin Buu était celle d'un gosse. Quant à Goku, c'est en Saiyan 2 classique qu'il finira de le terrasser. Et à ce titre on pourrait aussi brièvement citer Mystic Gohan au design tout en simplicité.
Course à la puissance certes ! Mais tout le reste, si on suit un peu l'histoire et les interviews de l'auteur, on se rend compte que c'était généralement pour répondre aux critiques et asticoter les fans (cf: le dessin de plus en plus anguleux).

A ce titre, Battle of Gods - que je considère comme une véritable tentative de retours aux sources - conserve cette règle : alors que la Toeï imposait une nouvelle transformation, Toriyama s'est exécuté en dessinant un Goku longiligne et parfaite anti-thèse des transformations habituelles. Et ce n'est même pas sous cette forme qu'il tiendra le plus longtemps tête à Beerus, rappelant qu'un Power Up n'est pas la seule façon de vaincre.
Mais les fans ayant détestés le film... bah... on a ce qu'on mérite ?

Bref ! Cet exemple est juste là pour illustrer que si en surface c'est pareil, dans le fond on pouvait quand même vraiment sentir un Mangaka aux commandes qui se faisait quand même plaisir, à désormais une machinerie marketing (la Toeï a ouvert un département décisionnaire uniquement pour Dragon Ball) dans le seul but est de capitaliser sur une marque.
Entre un SSJ2 et un SSJGodBueLDJKA je ne sais quoi... la réflexion derrière n'est pas la même.

Ajoutez à ça un retour au statu-quo Goku-Vegeta eternels rivaux, alors que le manga d'origine concluait l'affaire, plus un personnage principal régressant intellectuellement... DBS a quand même fait du mal à la série et ce n'est pas uniquement de la nostalgie qui me le fait penser.
A un moment, si les personnages ne grandissent plus, l'oeuvre non plus.
Donc oui, la forme est la même comme vous le dites ! Mais pas le fond. Et c'est globalement ce qu'on lui reproche.


... et je déteste les films Marvel.

rataray
11/03/2019 à 17:26

Dbs ńest qúun produit sans ames , sans emotions crèè pour faire du fric ćest pas compliquè à comprendre ... alors on regarde par passion pour l´univers mais c´est catastrophique ils ont rendu Goku qui a la fin de dbz etait ultra mature completement stupide debile à la limite du grotesque

corleone
11/03/2019 à 17:12

DBS est une calamité. L'exemple même de ce qu'il faut pas faire. J'aurais préféré une suite de DBGT qui etait quand même d'une grande qualité niveau réalisation technique et le dernier film sur Broly (sur lequel certains se palucchent) pour moi ne fait qu'enfoncer le clou.

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