Jag
16/01/2019 à 11:35

@Birdy, oui je t'avoue que ça fait mal d'avoir balancé Venom comme exemple mais c'est le seul qui me venait sur le coup :D

Birdy
16/01/2019 à 11:04

@ jag : je comprends ton point de vue, mais pourquoi prendre Venom comme exemple ? Cette purge n'est pas vraiment un succès artistique, et je ne pense pas qu'il faille prendre son score au boxoffice comme révélateur de vrais choix de producteurs.
Certains films ont profité du savoir faire et du feeling de producteurs avisés. The Artist, par ex.

Euh
16/01/2019 à 11:04

"Alors oui, l'histoire n'était pas franchement originale ni très profonde", c'est terrible de lire encore ce genre de choses des années après la sortie du film. Vous allez aussi dire comme d'autres critiques françaises que Fury road n'a pas d'histoire ni de scénario ?
Ou rassurez-moi, c'est juste pour provoquer et faire réagir sur un article et dans ce cas ça fonctionne..

José
16/01/2019 à 10:53

C'est connu, mais un bon exemple est celui de Seven, ou Freeman et Pitt se sont battus pr garder la fin originale.
Un mauvais exemple est par ex. Alien 3 ou Fincher s'est vu deposséder de son bébé (et l'a renié).

Geoffrey Crété - Rédaction
16/01/2019 à 10:36

@Jag

On a souvent mis de la nuance dans cette vision trop manichéenne des producteurs vs réalisateurs, surtout lorsqu'on échange avec les lecteurs.
Un dossier n'est pas prévu sur ce sujet, qu'on aborde plutôt dans des articles consacrés à certains films, en revenant sur leur production.

Pour Venom, c'est encore autre chose : on peut y voir le talent des producteurs qui ont façonné un succès... mais on peut aussi simplement voir un "film de producteur" dans le pire des sens, c'est-à-dire vidé de substance, dont la couleur a été diluée au fil des mois. Parler de vision sur la classification alors qu'il s'agit d'abord d'une simple cohérence de marché, d'un aspect du deal avec Marvel avec des espoirs de recroiser les sagas... ça ne serait pas notre choix de mot, et c'est presque un autre sujet ici.

Mais on trouverait intéressant de revenir avec des exemples concrets sur des producteurs intelligents, pas parce qu'ils ont juste trouvé le succès, mais parce qu'ils ont aidé le réalisateur à concrétiser sa vision. Le visionnage de certains director's cut, plus faibles que les versions ciné parfois, est le meilleur exemple.

Jag
16/01/2019 à 10:26

On parle souvent des méchants producteurs. Est-ce que vous pensez faire un dossier sur les ajouts / demandes / corrections imposés par les producteurs et qui se sont avérés payants? Un des derniers exemples étant Venom. Une daube sans nom mais un succès mondial en partie due à la vision des producteurs sur la classification du film.