docsavage
02/12/2018 à 14:47

tout ce que fait ce attal est nul,il faudrait qu'il songe à se reconvertir dans le prêt à porter !!!

BATI22
01/12/2018 à 09:07

Et la série "Transferts", toujours d'Arte d'ailleurs, personne n'en parle, alors qu'elle vaut LARGEMENT plus le détours que celle là, y'a pas d'acteur vraiment connu, pas de tapage médiatique des médias français qui ne parle uniquement des séries qu'on leurs demande de parler ... Et pourtant ... Très très bonne série à regarder !!! Dispo du Netflix pour le curieux ;-)

Soylent green
30/11/2018 à 21:44

Je ne partage pas du tout l’avis de cette critique. Cette mini série était passionnante et très originale. J’ai adoré les idées qui étaient développées sur les conséquences pour l’humanité de l’immortalité. Et les acteurs étaient excellents.

tipiak
30/11/2018 à 18:44

J'ai juste à faire un copier-coller du commentaire de CooperPeaks parce que je pense grosso modo la même chose.

Fabrice
30/11/2018 à 17:51

Moi j'ai beaucoup aimer cette série.
On peut être critique sur bien des points mais cette série contient ce qui me plais dans la science fiction : Un changement de point de vu qui me permet de me poser de nouvelles questions.
Pour cela, je n'ai pas été géné par la réalisation que je trouves assez esthétique.

Onk Ji
30/11/2018 à 14:30

Pas d'accord, ce n'est pas si mauvais même si effectivement
l'indigence du budget fait peine à voir, le scénario et le suspense sont plutôt réussis, et les acteurs convaincants.

titibud
30/11/2018 à 14:11

premier épisode dèjà chiant à mourir (un comble) attal fatigué de lui-même en voie d'étre le nouveau bacri, l'histoire floue on comprend rien, les décors espagnols voyants, la technologie de bazar, rien de sauve cette série malheureusement

kryogenius
30/11/2018 à 13:24

Aucun intérêt et cela n'en aura aucun Ad Vitam comme son nom le porte si bien
Un acteur ne suffit pas à compenser

CooperPeaks
30/11/2018 à 12:29

Triste de se dire que là où la science-fiction française est restée extrêmement intéressante dans le domaine de la bande-dessinée et de la littérature (Pierre Bordage, Thomas Day dont je recommande d'ailleurs grandement Dragon, une sorte de Blade Runner qui se déroule à Bangkok dans une ambiance à la Seven), l'audiovisuel est encore bien en peine, et Ad Vitam en est une nouvelle fois la preuve flagrante.
Je crois que le principal problème qui gangrène la science fiction dans l'audiovisuel français (en-dehors des budgets dérisoires), c'est probablement cette tendance à vouloir à tout prix faire de la grande métaphysique, tout ça pour finir par une accumulation de symboles ronflants et de dialogue philisophico pouêt-pouêt, en oubliant que ce qui fait la principale qualité de la science fiction demeure son facteur sensoriel. Pour des chefs-d'oeuvre comme Blade Runner et Ghost in the shell qu'on aime analyser sous l'angle de la réflexion métaphysique sur les problématiques qu'ils posent, il ne faut pas oublier que ces films là parlent d'abord aux sens en nous invitant à l'évasion (qui trouve peut être sa plus belle illustration dans l'un des nombreux plans iconiques de Blade Runner, celle de l’œil qui voit des flammes s'élever dans le ciel), plutôt qu'à la raison.

Bob57
30/11/2018 à 12:07

Dommage...

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