Valery
17/05/2018 à 12:04

Cette critique est un joli point de vue politique, très intéressant en soi. Mais il est dommage qu'il vienne phagocyter l'ensemble du propos. On voudrait plus d'éléments sur le film lui même....et se faire notre propre opinion sur la pertinence ou cohérence du geste politique. Mais Merci !

dada
17/05/2018 à 11:15

il suffit d'allumer la télé pour voir la meme chose

lololol
17/05/2018 à 08:14

En guerre de Stéphane Brizé, un film que j'ai aimé voir adoré.
Ce n'est pas un film bobo gauchiste comme certains commentaires aimeraient l'appeler. Il ne faut pas juger avant d'avoir vu.
Il s'agit d'un film sur la violence auxquels les salariés, patrons, RH, policiers sont confrontés par une simple loi du marché.
Mais la véracité du propos est bouleversante de même qu'un Vincent Lindon plus que parfait, nous emmènent vers une émotion intense.
Des rires, des larmes, tout simplement une claque.

MS
17/05/2018 à 08:06

Je ne partage pas cette analyse. Je pense que la volonté du réalisateur est de nous placer au cœur de cette « guerre », dans les coulisses de ceux qui luttent.
Et c’est réussi, c’est vrai... ça marche !
Et du coup, on accèdent à un ensemble de situations, de questionnements, de messages... qui ne transparaissent pas habituellement sur les écrans.

zetagundam
16/05/2018 à 18:41

@Shagon

Personnellement, ce qui me choque c'est surtout c'est le fait que ce type "d'oeuvre" (films, chansons, etc ...) permet à certains de s'enrichir (en autres joyeusetés) sur le dos de ceux qui vivent ces drames.

Le film d'Ariane
16/05/2018 à 17:30

Pas du tout d'accord avec toi, je ne trouve pas du tout que Lindon phagocyte le film. Et il est tellement authentique et engagé qu'il a réussi à me faire oublier qu'il était un acteur "connu". Pour moi rien d'artificiel dans ce film mais un geste de cinéma d'une puissance de feu.

Shagon
16/05/2018 à 07:43

Brizé, le mec qui laisse des comédiens au chômage pour faire des films sur le chômage avec de vraies caissières et de vrais syndicalistes ! C'est assez répugnant comme concept...

On ne joue pas un métier, ni une fonction. On joue des émotions et des sentiments. Y'a 10 000 comédiennes et comédiens de théâtre qui feraient " aussi vrai " que ces anonymes amateurs.
Soit on travaille sa fiction, soit on fait un documentaire ( parce-que sinon on a BFM et Elise Lucet hein, pour parler de ce sujet...)

Olric
15/05/2018 à 23:38

"Comment prête des traiter de la lutte collective,..." Gni ?