maxleresistant
10/04/2018 à 15:12

"roi du cinéma académique et formaté"
Surtout parce que c'est lui qui l'a reformaté en marquant l'industrie de son génie.
On peut pas lui reprocher d'être la même personne et de continuer à faire son cinéma.

Mais on peut attaquer ses films oui, et je te rejoins sur Ready Player One.

maxleresistant
10/04/2018 à 15:04

"ma contribution est de 40%"
Si seulement...

Mad
10/04/2018 à 15:00

Voilà pourquoi il est important de sacraliser les nouveaux venus du (réel) cinéma, dans la branche "indé" du genre. Jeff Nichols, Jeremy Saulnier, Fede Alvarez, David Robert Mitchell, Robbert Eggers etc... A des années lumières de ce bon vieux Spielberg, roi du cinéma académique et formaté, mais qui avec une once de savoir-faire fait croire à l'ensemble du public qu'il est encore maitre du navire et avec autant de talent qu'à ses débuts. Triste constat que de voir Ready Player One être autant salué que cela pour ses prouesses visuelles alors que ce n'est qu'une longue cinématique de jeu vidéo.