smith
24/02/2018 à 10:10

Merci netflix top

Satan LaBite
24/02/2018 à 09:57

"son premier vrai bon film devrait donc arriver d'ici 2692"
Vraiment ? Et "Moon" ça ne vous dit rien ?

Sinon, pour les ignares, Duncan Jones est le fils de David Bowie.

Buddy Revel
24/02/2018 à 09:40

Plus que pour Netflix, je trouve que c'est inquiétant pour Duncan Jones.

Moon est un excellent premier film et Source Code semblait confirmer son talent. Ces dernières années ont vu émerger très peu de réalisateurs talentueux. D. Jones semblait être un des rares représentants d'une nouvelle génération de metteurs en scène. S'il commence à faire des navets, ce n'est pas un bon signal pour la vitalité du 7ème art...

Kean
24/02/2018 à 07:28

Wow
Embarassant.
L’acting et la laideur du film..
Bright, leurs dernieres series Marvelienne et meme Altered carbon ne sont dc pas qu’une suite d’infortunés accidents...
Gros red flag pour Netflix qui ne sait clairement plus vraiment quoi foutre de son trop plein d’argent.
C’est comme tout le reste: depense moins mais depense mieux.

Sid
24/02/2018 à 00:53

Vu ce soir.Encore un bon gros navet signé netflix, le casting est sympa, dommage.

Je crains vraiment le pire pour Annihilation même si le réalisteur du superbe Ex Machina est aux commandes...

Rorov94
23/02/2018 à 20:17

Un autre classique sf instantané.
MERCI NETFLIX.

Hugo_Le_Blaireau
23/02/2018 à 19:24

Critique bien écrite meme si je ne partage absolument pas le même avis.
-Déjà la construction m'apparaît pas si hasardeuse que ça. Déjà elle nous permet tout simplement d'avoir un autre regard que celui de Léo, sur une partie plus sombre de l'univers mais surtout de mettre en parralèle deux personnages, Cactus et Léo.
Car je trouve que les personnages partagent bien plus de choses en commun notamment que ce sont deux anomalies dans un univers décadent, le rêve ici passe par une certaine débauche (le club qui est le rêve du patron) et un mode de vie très accès sur le corps, la sexualité. Un univers au métissage culturel assez imposant qui est plutôt bien retranscris je trouve et qui nourrit le rapport aux traditions que porte Léo. (La scène du comptoir est assez représentative des différences culturelles)
Leur rêve est plus accès sur un idéal amoureux (Léo) et familial (Cactus).
On suit deux trajectoire opposé entre un Léo, garçon sensible et attentionné, qui s'enfonce dans cet univers et un Cactus, désinvolte et impulsif, qui cherche à le fuir, ils sont tous les deux liés au final par un élément commun qui renforce davantage ce parralèle.
-Au final, Cactus et Léo apparaissent comme les plus humains des personnages de part leur perte et leur attachement à des êtres cher qui leur permet un certains parcours émotions les faisant ainsi évoluer et s'humaniser. L'attachement et la perte de l'être, la reconstruction de l'homme sont pour moi les thématiques centrales du film qui rentrent en résonnances direct avec le carton en début de film (la citation Amish) et la fin du film, avec l'hommage de Jones a son père mort.

Voilà voilà, j'espere pouvoir en débattre si possible ! :)

Flash
23/02/2018 à 18:52

je me tâtais pour le voir, du coup je passerai mon chemin.