Shadow75
28/07/2019 à 03:35

Decker.
Laugier un film de crocodile??? Encore une personne qui n'y connaît rien et qui laisse un commentaire.
Alexandre Aja peut-être ???

Decker
27/07/2019 à 23:50

Ça reste du Home Invasion (ou du torture porn si vous préférez) bien sur les railles et super clean.. Il est temps que Laugier passe à autre chose, son film de croco est pas mal d’ailleurs mais son style devient plus que prévisible. L'attention envers Lovecraft reste louable et m'apparait ici comme la porte de sortie souhaitée mais désespérément interdite, d'où une grande frustration que l'on retrouve in fine dans toutes ses productions. Espérons que Laugier se mette à creuser.

Bubble Ghost
27/07/2019 à 23:42

Je me suis profondément ennuyé devant ce film, que j'ai totalement oublié, moins de 24 heures après...

Ringo
27/07/2019 à 22:57

Franchement, Laugier est la hype des critiques, et cela restera le grand mystère du film (et de Martyrs, que je trouve ridicule au possible) mais ce film là est une véritable arnaque. Je n'ai d'ailleurs jamais vu une salle de ciné se vider autant, et ce n'était pas pour l'aspect nauséeux (un fait divers au JT le serait plus, hélas). C'est filmé comme le maquillage : à la truelle. Le jeu poupées/Farmer/Mal incarné est maladroit et éculé : pourquoi un tel décorum autant appuyé ?Pour l'ambiance ? Sans déconner, le Mal est souvent plus effrayant dans des endroits plus... normaux, auxquels le spectateur peut s'identifier. Farmer ne peut comme sa fille pas trop jouer du fait de l'excès de botox. Les méchants sont carrément ridicules avec un hippie gothique raté et un mongolo à la chair de cire molle n'ayant pas une once de réalité. Le pire pour moi, c'est l'hommage à Lovecraft... Alors d'une la "terreur" psychologique aurait déjà eu plus à voir avec Stephen King. Et de deux... mais QUI a déguisé un Bogdanoff en Lovecraft ??? Une honte !!!!!!! J'ai soupiré durant tout le film, souhaitant un éclat jusqu'à la fin, mais je n'ai trouvé cela ni stressant, ni malsain, ni malin. Votre critique vous appartient, mais elle est très éloignée de ce que les spectateurs que je connais ont vu. Minable, et le mot est faible. Si Laugier a voulu faire du référentiel, il a foiré total.

Greg
27/07/2019 à 20:56

Ah et pour témoigner un peu plus du côté abject de ce film, il suffit de voir le traitement réservé à l'une de ses actrices durant le tournage, et les conséquences sur sa vie et sa carrière. Comme si le produit fini n'était pas déjà assez lourd à porter. Le comportement de Laugier dans cette affaire est bien plus effrayant que son film.

Greg
27/07/2019 à 20:51

Un film abject à de multiples niveaux.
Et je précise avant tout que je n'ai rien contre Laugier dont les travaux précédents m'avaient plus qu'intéressé.

@Simon J'ai un peu de mal avec cette critique, qui pardonne tout à Laugier, alors que pour les mêmes choses, on aurait défoncer n'importe quel metteur en scène.
L'utilisation du jumpscare dans ce film serait "une grammaire du montage et de la narration" ?
La tentative de sauvetage est louable, mais Laugier fait une utilisation abusive de ces jumpscares, et leurs effets sont au mieux risible, comme lors de cette scène en extérieure, ou les phares d'une voiture s'allume au brusquement au loin, effet totalement détruit par le sound design, et une mise en scène aux fraises. La peur n'est jamais présente devant Ghostland, seul le malaise est au rendez-vous. Mais le malaise que l'on peut ressentir devant une oeuvre forte qui vous fait réfléchir en vous poussant dans vos retranchements, non le malaise devant la médiocrité du résultat.
Le film est d'une laideur consternante, à tous les niveaux, à commencer par les décors. (Également une Mention spéciale au maquillage de Lovecraft)
Le comportement des personnages vire au ridicule en permanence (On reparle de cette évasion ?)
Mais tout ceci serait presque négligeable, si le film n'était pas tout simplement dégueulasse dans ce qu'il raconte, et la manière dont il le montre.
J'ose espérer que Laugier se soit vautrer dans son souhait initial de pousser le spectateur "à s’interroger sur le rapport qu’il entretient avec" la violence. Car ça lui donnerait une excuse.
Parce que s'il a parfaitement maîtrisé son propos avec ce film, alors le problème est réel avec ce qu'il a à dire. Contrairement à ce que dit cet article, l'ambiguïté est permanente dans Ghostland. Elle est même le moteur du film. C'est ce qui le rend si abject. Le traitement réservé aux héroïnes et l'absence totale de rédemption que le réalisateur leur offre, ne laisse aucune place au doute. Laugier détruit les personnages féminins, les avilie, et les abandonne dans cet état. Et il se repaît de son obscur spectacle.
Un film qui a donc la triste particularité d'être aussi mauvais que détestable.

Dario De Palma
14/02/2019 à 10:23

Un huis clos survival sans grande originalité ni inspiration, visuellement terne et étriqué ( plans serrés, peu de sens de l'espace, direction artistique limitée) à l' imagerie gothique éculée. Pascal Laugier s'auto-cite, recycle son cinéma (on se croirait parfois dans un remake de "Martyrs"), celui des autres (Hooper, Rob Zombie, Balaguero, Aldrich, Victor Salva, Bruno Mattéi...) et s'enlise dans un récit doloriste répétitif à l'hystérie convenue, aux personnages caricaturaux voire grotesques (un méchant gémissant de série Z rappelant le Sinok des "Goonies"!!!).
Un film au final assez vain et désincarné malgré les quelques efforts de ses actrices pour donner un peu de vie à leurs maigres personnages.

Kaethee2792
22/09/2018 à 07:58

Un chef-d'oeuvre.
Je suis une fan des films d'horreurs.
Autant années 70-80 à aujourd'hui.
Les films d'horreurs des dernières années ne me plaisaient pas, car je trouve que souvent ils manquent d'histoire, ne font que faire faire le saut, on voit y des ombres et les fins sont sans explications ou terminent mals.
MAIS ce film là est PARFAIT.
Autant pour le jeu des acteurs, l'artistique (contrastre entre la pureté des bonbons,poupees qu'avec la terreur).
On a pas besoin d'avoir milles infos sur les fous, ils sont fous point. La fin est très cohérente, l'histoire est surprenante, angoissante, les cameras sont au bons angles etc.
Merci!

Julot
07/09/2018 à 13:41

C'est un film français : donc c'est très moche et très pleurnichard. Si Farmer, 57 ans, peut encore se permettre de jouer le rôle d'une quadra, botox oblige, en revanche l'actrice qui incarne sa fille aînée, plus botoxée encore que sa maman, frise le ridicule. Affublée de lèvres hypertrophiées à la Donald Duck, comparables à celles que nous connaissions à feu Johnny Halliday, ou à (feue ?) Emmanuelle Béard, elle peine à convaincre dans les scènes terrifiques. Bref, évitez ce film, et de manière générale évitez tout film "d'horreur" de fabrication française.

toto
02/09/2018 à 23:53

Film de merde, où la fille est plus botoxée encore que sa mère (Mylène Farmer) ce qui n'est pas un mince exploit.

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