Pulsion73
22/01/2018 à 18:09

A la poursuite de demain, très bon film, fourmille de bonnes idées, c'est dynamique et passionnant, et surtout très bien joué. J'adore les films de Brad Bird, en gros. ^^. Tintin était carrément Excellent ! A mon avis, Ready Player One devrait annoncer un retour électrisant de Spielberg, retour au pur divertissement de qualité j'espère. Je n'oublie pas qu'il nous pondu une demi bouse avec son dernier Indiana Jones, mais bon ok je pardonne ^^.

Carli Bruna
22/01/2018 à 17:59

Petit détail : la photo de Spielberg avec un dinosaure c'est sur le tournage du Monde perdu, pas celui de Jurassic Park.
Tout le monde s'en fout sauf moi mais tant pis ;)

Simon Riaux
22/01/2018 à 17:32

@Steve

Bien d'accord.

STEVE
22/01/2018 à 17:26

Souvent sous-estimé, je trouve que War Of The Worlds est un chef d'œuvre

Raoul
22/01/2018 à 15:53

Pour ma part j'adore quand Spielberg fait dans le classicisme. Bridge of Spies, Pentagon Papers, Munich, Catch me if you can, Terminal, Schindler, Lincoln c'est le meilleur de Spielberg. Que ce mec ait fait aussi Minority Report, Jurassic Park, War Horse, le Soldat Ryan est absolument renversant. Il n'y a même pas de débat, à part à préférer voir des mecs en collant et en cape contre des gros monstres CGI. Un article en forme de faux débat qui pose une question qui n'a vraiment pas lieu d'être à mon avis. Spielberg c'est vraiment le patron. Aujourd'hui il tourne ce qu'il veut sans demander l'avis à personne (à priori). Alors cependant Ready Player One ne m'attire pas plus que ça, à moins que ça prenne une tournure style AI ou Minority Report. Il a fait aussi quantité de films plus mineurs dans sa filmo mais de haute volée (au moins formellement) pour le commun des réal (War of Worlds, Amistad, Hook, Lost world).

Kryss
20/01/2018 à 18:54

Tout génie visuel qu’il soit’ Spielberg a besoin d’un bon scénario... cette évidence se retrouve chez Scorsese, qui ne nous a pas tant sorti de bons films depuis goodfellas. La couleur pourpre est une merde insoutenablé, muni

Zanta
20/01/2018 à 18:16

Spielby a bien attaqué en 2005 avec Munich un cycle plus adulte et sérieux - certains dirons académique - de sa filmographie. Et le plaisir de cinéma est toujours au rendez-vous.
Là où le mât blesse, c'est quand il revient au cinéma qui l'a révélé, celui du blockbuster émotionnel et humain.
Là, on peut voir dans le remarquable doublé de 2002 - Minority Report/Catch Me If You Can - le dernier sommet créatif. Car depuis, Tintin et Indy 4 ont bien déçu - oui, c'est bien emballé en termes de mise en scène, mais c'est aussi un poil laid aux entournures et les derniers actes sont franchement loupés.
D'ailleurs, les suites prévues pour ces deux blockbusters se font depuis sacrément attendre.
Bref, Ready Player One devra être la preuve qu'il a encore en lui un peu de l'étincelle qui dont donné naissance à ses classiques des années 1980-90...
Sinon, j'attendrai sagement son prochain drame historique.
Et le conseillerai à mes vieux.

this is my movies
20/01/2018 à 15:51

Pas chiant, juste adulte et mature. Moins d’esbroufe mais plus de maîtrise, des films qui sont plus pensés pour un public adulte, éduqué, cultivé et mature (ce n'est clairement pas accessible au plus grand monde, j'ai par exemple trouve son "Lincoln" un peu pénible et pompeux), moins de divertissement. J'aime beaucoup certains de ses derniers films, techniquement ahurissant parfois, mais aucun ne compte parmi mes préférés ou mes classiques. Question de goût aussi. Mais difficile de faire la fine bouche face à "Cheval de guerre" et son spectacle total, "Le pont des espions "et son esprit frondeur et naïf, "Tintin...", un film d'aventures inégal mais visuellement ébouriffant, bref, ça reste encore du très haut niveau.

Et inutile de dire que dès les 1ères images, "Ready Player One" est devenu un des films que j'attends le plus cette année.

Et c'est pas grave si le bonhomme ne met plus la main à des blockbusters trop formatés, il n'en veut pas et le système ne l'accepterait pas (j'entends aussi par là les fans des univers, quand on voit les torrents de haine que se prend Rian Johnson alors qu'il a tenté d'introduire des trucs plus personnels dans l'univers Star Wars, de mettre sa patte, quitte à prendre quelques risques et à se planter parfois).