Cf
10/11/2017 à 19:30

Mais c'est un ramassis de grosses merdes sur ce site, entre le poucave et les commentaires on est servi.

Hlb
10/11/2017 à 13:23

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Bonnaud sort de son trou pour venir bobarder sur Mediapart qu'il est la dernière lumière à briller dans la nuit de l'obscurantisme, et son ultime avatar le féminisme. Il se désole d'être le seul engagé dans cet homérique combat. C'est vrai que même BHL copain comme cochon avec Weinstein a préféré rester en retrait de la mêlée. Il n'était même pas à la cinémathèque au coté de Anne Sinclair, fidèles assistante de violeurs et des pédophiles à carte Gold. Le lâche, abandonné Bonnaud au pire moment de la bataille des valeurs, à l'instant où les ténèbres menacent à nouveau de fondre sur Bercy et d'engloutir dans une poisse d'ignorance et de superstitions sexuelles le cinéma même ! Décidément tout fout le camp... Heureusement reste Médiapart pour y loger une suite de bobards abracadabrantesques sans être beaucoup contredit par les ex collègues qui s'y verraient bien, eux aussi, à 7000 euros mensuels pour faire honneur à Polanski, puis annuler Brisseau, qualifié au passage de gros porc par le dirlo himself, qui jurait la veille de la fermeté de ses convictions dans la défense des droits de l'homme et du client.

La tête à toto
09/11/2017 à 22:14

Le bonobo il a dû manger son chapeau, alors il ment, il reconstruit un adversaire fanatique, identifiant féminisme et intégrisme catholique. Le voilà tout rougeaud de colère en appelant à Godard, avec lequel il s'imagine, le malheureux, partager la même glorieuse opprobre, lorsque les bandes à Le Pen gazaient les cinémas, à l'époque des commandos de Marie. Il aurait fait un bon procureur stalinien, technicien professionnel de l'amalgame et de la calomnie, sans scrupules et sans remords à user du mensonge pour parvenir à ses fins. Tous les faux arguments lui sont bons pour sauver sa place du naufrage où s'il s'est mis. Il n'a même pas le courage de porter ses soi-disantes valeurs. Il annule ce qu'il assurait être hier au fondement de son éthique et de sa conception du cinéma. Il n'a ni morale ni idée du cinéma. C'est juste un piteux manager sans autre conviction que celle de ses employeurs. Il l'a déjà démontré à plusieurs reprises. C'est l'entreprise de la lâcheté faite homme.

Shame
09/11/2017 à 15:15

Le Tartuffe Bonnaud en roue libre : il passe Polanski mais pas l'autre qui est moins célèbre, alors il le bloque. Polanski a non seulement violé une enfant de 13 ans mais a fui la justice. Il planque aussi son fric dans des paradis fiscaux, apparemment. Il serait bon que l'on pratique aussi le shaming (faire honte) face aux évadés fiscaux qui sont des voleurs. Pour les violeurs et voleurs, on peut ne pas les inviter, même si on ne censure pas leurs oeuvres. Bonnaud, comme direction de la cinémathèque, c'est vraiment la honte

Case
09/11/2017 à 15:13

Franchement, le DG de la cinémathèque est pris de démence. Sans doute panique t-il? Voit il la porte se rapprocher après avoir déglingué comme jamais l'image de cette brave vieille institution qu'est la cinémathèque? Possible. Drôle de bonhomme .

Choc
09/11/2017 à 15:04

Tiens, d'après Bonnaud, voilà qu'on est en plein choc totalitaire. Le gars débloque à berzingue, il s'est même pas rendu compte qu'il était tout seul à défendre ses pédo retropectives. C'est à Bonnaud la cinémathèque? Le zozo, parait il, dialogue avec personne, sûr de son bon droit. Qui finance? La tutelle, c'est à dire nous. La démocratie à Bonnaud, c'est ça le choc totalitaire ça, non? Et ils laissent faire leur patron, les employés de l'institution? Y'en a pas un pour relever l'autre?

CDL
09/11/2017 à 14:56

Exact, le management Bonnaud c'est carrément du lourd! Un mix de petit patron aigri, de Voltaire des pissotières et de CRS de gauche. Si tu soutiens pas son sale boulot, t'es qu'une ligue de vertu! Le mec a carrément coulé la réputation de la cinémathèque, et il la dirige toujours! Costas, réveille-toi, balance ton pdg!

Youhou
09/11/2017 à 14:51

Le ridicule petit Bonnaud, le défenseur des Lumières des parkings et des villas de luxe, a dû obtempérer à l'ordre de sa hiérarchie et interrompre sa promotion de la culture du viol sous l'égide de la cinémathèque. Si n'avait tenu qu'à lui, le zigoto aurait poursuivi sur sa lancée sordide et enfoncé un peu plus l'institution dans la boue. Le bilan du Bonnaud s'annonce d'ores et déjà saisissant : dressage du personnel précaire, invitation de la police à vider l'occupation du hall par Nuit debout, mise à l'honneur d'un délinquant sexuel multirécidiviste, projet d’enchaîner avec l'hommage à un autre. Allez tous en choeur : pour la dignité de la cinémathèque, Bonnaud démission!

trent
09/11/2017 à 14:45

...film que j'ai apprécié par ailleurs mais on arrivait à une telle saturation de votre couverture du film que j'espère au moins qu'on vous a payé pour... ça.

trent
09/11/2017 à 14:44

ça commence à être chiant ces 5 articles par jours sur ces "affaires". On croirait votre promotion de ça...

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