
The Descent : critique des profondeurs
The Descent, de Neil Marshall (qui nous livrera bientôt le nouvel Hellboy), un excellent film.
The Descent, de Neil Marshall (qui nous livrera bientôt le nouvel Hellboy), un excellent film.
Laura, une blondinette mariée à un producteur de musique qui fait le double de son âge, mesure l'ampleur du gouffre affectif et social qui est le sien, lorsque
Les films dans lesquels elle s'illustre ne méritent pas toujours le coup d'oeil (loin de là), et pourtant Uma Thurman incarne toujours cette nymphe, dont l'aura
Alors que Dog Soldiers mettait en scène un casting majoritairement mâle, The Descent,
le second opus de Neil Marshall, donne la part belle au beau sexe en
propulsant
Ne vous faites pas de mouron : la nouvelle génération
file bien droit dans ses converses. Comme le monde part en vrille, que les
valeurs et l’innocence se
Aux fans de
James Ellroy
Qui ont
connu les transes
De ses
polars noirs
Je dirai en
substance ceci :
Ne touchez
pas à ce remake tâcheron
L'apparente simplicité de la thèmatique abordée par Nue propriété, sa mise en scène dépouillée, son cadre quasi toujours restreint à résidence, tous ces
Noir c'est noir, il n'y a plus d'espoir. il fait beau, les oiseaux chantent, c'est les grandes vacances. Tout le monde a déserté la cambrousse où Martin fait
Avoir 20 piges à Jérusalem, en passer par le service militaire obligatoire pour tout le monde. Sexe faible ou fort, tous doivent faire les gros bras, enfiler le
Armé de sa DV baladeuse, Benoît Jacquot a au moins le mérite d'adhérer au déracinement de son héroïne qui part en Inde, sur les traces de son père inconnu.
Début des années 80, l'armée Rouge envahit l'Afghanistan afin de renforcer le régime communiste au pouvoir, en contrecarrant la résistance Islamiste. Enrôlé
Les rencontres internationales du cinéma des antipodes de St trop, nous ont invité au voyage.. Embarquement immédiat pour tous les passagers à destination
Les politicards tous corrompus par le système ? En cette période de branle-bas le combat pré présidentielles, on est tenté de le croire. Et vas-y que Chirac
La réputation de Gus Van Sant n'est plus à faire. Indépendant jusqu'à la moelle, sacré petit prince de la production alternative yankee, primé de par le monde
Pourtant habitué de Guédiguian, Jean-Pierre Daroussin plante le pitch de son premier film adapté du bouquin dEmmanuel Bove, à mille lieues des calanques. Panam,
Aléa des programmations oblige, deux films français évoquent un sujet similaire à un mois d'intervalle. Tout comme Je vais bien, ne t'en fais pas, le dernier
Adapter Michel Houellebecq au cinéma, c'est comme poursuivre le quête du Saint- Graal, cela demande un certain cran. Pas mal de prétendants en ont caressé l'idée
Qui connaît les clips de Gondry (soit les trois quarts de la planète hertzienne) sait combien son imaginaire est moins dépendant que gémellaire des scénarios
Une fois n'est pas coutume, la caméra de Robert Guédiguian ne flâne pas dans son antre de prédilection. Des envies d'échappée belle lui ont fait largué les
Loft Story et son cousin yankee Big Brother ont engendré un tel pataquès télévisuel, qu'on attendait la bave aux lèvres que des voyeurs audacieux projettent