Critique : La Grande course autour du monde
Comédie irrésistible à l'effet boule de neige souvent
désopilant, La Grande course
autour du monde marque l'un des sommets de la carrière de Blake
Edwards.
En 1908, une grande course automobile est organisée : New York-Paris, via le Grand Nord, la Sibérie et l'Europe centrale. Le professeur Fate, personnage machiavélique, aidé d'un grimaçant acolyte, tient à gagner la course et décide de tout mettre en oeuvre pour empêcher la victoire de son principal adversaire, le grand Leslie. Six voitures prennent le départ à New York, au milieu d'une foule délirante. Une concurrente inattendue se présente, la journaliste féministe Maggie Dubois, toute de rose vêtue. Bientôt, les voitures du professeur Fate et du grand Leslie sont les dernières à concourir, et la suffragette est recueillie tantôt par l'un, tantôt par l'autre...
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désopilant, La Grande course
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